Mes amants

  • Libertinage,  Mes amants,  Mon Homme,  Sur le vif

    Gourmandises

    Une invitation, une fois encore dans une belle maison de banlieue parisienne. Cette fois nous avons pris un hôtel pour simplifier la logistique et éviter trop de kilomètres en pleine nuit. Officiellement, c’est une soirée en amoureux. L’officieux est bien plus savoureux.

    Indéniablement, ces soirées pimentent et renforcent notre couple. J’aime le regard de mon homme sur moi lorsqu’il remet en place mes cheveux ébouriffés alors que je suis en train de me faire prendre en levrette. J’adore qu’il sorte de sa réserve et m’offre sa queue également. Il le faisait si peu avant. Quel délice de pouvoir ainsi avoir deux hommes pour moi, sucer et me faire prendre en même temps et partager cela avec l’homme de ma vie.

    Nous sommes les plus jeunes certes, mais le casting est de qualité. Des personnes charmantes et notamment une femme pétillante qui raconte à l’assemblée comment elle a rencontré son homme au bar d’un club libertin, c’était le barman et surtout un « bon coup ».

    Après le buffet salé, notre hôte nous propose une visite guidée à l’étage qui nous amène vers trois grands matelas disposés sur le sol. Il commence les festivités avec la femme pétillante, tandis que moi j’embrasse l’homme avec qui je venais de parler de garçonnière et de Cap d’Agde, alors que sa femme est avec le « bon coup », mon homme agrémentera leur duo, avant de venir me rejoindre. Les autres préfèrent patienter pour jouer. Les uns descendent faire une pause, les autres montent. Moi, je suis restée longtemps profiter de mon amant et de son endurance.

    Nous nous retrouvons tous ensuite sur le canapé autour des savoureux desserts préparés par notre hôtesse de maison. La tarte tatin est un régal, le flan vanille aussi, j’assume ma gourmandise, de toute façon ils l’ont remarqué.

    Nous avons plaisir à partager nos expériences et nos visions du libertinage. Le sentiment de pouvoir être davantage nous même et authentique avec des inconnus par rapport à notre entourage avec qui nous ne pouvons pas partager ce jardin secret. Je suis entre mon amant et le « bon coup » qui en profite pour me tenir par la taille, avant de me glisser à l’oreille : « ça te dit d’aller revoir un film à l’étage avec moi ? ». Je suis flattée par son élégance et l’invitation, nous nous levons donc pour relancer le jeu.

    En me déshabillant il m’avoue avoir été excité de me voir avec deux hommes un peu plus tôt. Sa femme viendra près de nous, rejointe par mon homme. Ces messieurs utilisant d’abord leurs langues pour nous faire vibrer. L’amant d’avant n’est pas loin, observateur. Je lui fait signe de nous rejoindre, m’offrant ainsi un deuxième trio. C’est buffet à volonté ce soir pour moi. Les hommes se relaient dans ma chatte et ma bouche pour mon plus grand plaisir ! Cette fois je suis gâtée et je ne resterai pas sur ma faim comme certaines soirées.

    Ces hommes ont comblé mon appétit mais rien de tel pour finir la soirée qu’une femme ! Tandis que ces messieurs ont regagné le salon, je propose à la femme pétillante du bon coup un moment de douceur et volupté. Je la fais frémir et même hurler de plaisir autant que ces messieurs, mais juste avec mes mains, je frôle tout son corps, je l’enveloppe de mes caresses, c’est très agréable de la voir si sensible ! « Tu me rappelle moi en plus jeune, merci beaucoup ! »

    Je repars avec plein de belles images en tête et quelques numéros de téléphone, c’est impressionnant comment en quelques heures à peine, on passe d’inconnus à complices. Une belle soirée étoilée…

  • BDSM,  Libertinage,  Mes amants,  Sur le vif

    Soirée improvisée

    « Coucou!

    Pour info, on est invités tous les deux chez un couple! Si ça te dit ça peut vraiment être sympa, ils sont cools comme nous et addict lol. Mais si ça ne te dit pas ce soir, on reste sur ce qu’on a dit… »

    Voilà comment, je me suis retrouvée dans la voiture d’Esteban à faire une heure de route pour rencontrer un couple dont je ne savais quasiment rien!

    Elle pétillante, chaleureuse, pulpeuse et très souriante. Lui, plus petit, taquin et joueur… L’amant habituel devait passé chez eux ce soir, mais son rendez-vous de l’après midi s’est décalé compromettant sa disponibilité.

    Nous nous installons sur le canapé pour faire connaissance. Le mari: « Tu es dominante toi ou plutôt soumise? Parce que si tu aimes ça, elle peut te dominer? »

    Je suis joueuse, j’aime vivre des expériences, varier les plaisirs. Le couple est libertin depuis plus de 20 ans. Le mari est candauliste, il aime voir sa belle se faire prendre par d’autres hommes. Ils sont plus habitués à des pluralités masculines. Elle est gourmande et insatiable. Très sexy dans une robe moulante, dévoilant un collant résille fantaisie ouvert. Cela fait des années qu’ils ne se sont pas retrouvés à quatre comme ça.

    Alors que nous partageons nos expériences libertines, elle lit un message de son amant, il est 22h, il est désormais libre… Je lui réponds instantanément: « Si tu souhaites qu’il nous rejoigne, je n’y vois aucun inconvénient! » Elle ne sait pas s’il va accepter, il a toujours vu le couple seul. Le temps de se préparer, il sera là d’ici 40 minutes.

    Nous l’attendrons pour débuter les jeux coquins… Elle, curieuse de voir ce qui se cache sous ma robe décolletée plus sage que la sienne… Elle y découvre un porte jarretelle et m’invite à me mettre à 4 pattes sur le canapé. Je lui offre ma croupe. Le mari commente: « Elle va te bouffer le cul, elle commence toujours par ça, elle adore ça! » Elle en profite également pour lancer une première fessée, plutôt sage, elle comprend qu’elle a mon consentement pour poursuivre.

    Elle prend possession de moi, me retourne, me lèche, m’agrippe, me claque, me tient par les cheveux, la gorge. Elle maitrise le sujet, je le sens, et je me laisse complètement emportée par son emprise, sous le regard amusée des hommes qui restent pour le moment spectateurs.

    J’ai aussi envie d’elle, de la déshabiller, de la caresser, la titiller, la lécher… Elle semble apprécier. La voilà assise sur le canapé, moi à quatre pattes la tête entre ses cuisses à lui lécher la chatte lorsque le mari décide de venir me claquer les fesses. Il y va un peu plus fort, des deux mains. L’assemblée s’exclame: « Ah tu marques bien, on voit littéralement la trace de la main! » Esteban immortalise l’instant, autorisé par nos hôtes à sortir son téléphone portable.

    Le couple sort ensuite de sa valise magique des petits accessoires pour répondre à notre curiosité: cravache, paddle, pinces à tétons et aspire tétons… J’essaie tout ça avec amusement, les sensations ressenties, ne sont pas aussi douloureuses que je pouvais le craindre.

    Mais ce que je préfère, ce qui me transporte vraiment, c’est quand elle m’attrape par les cheveux ou m’agrippe par la gorge à m’en couper le souffle, je me laisse portée par ce qu’elle propose, ça me fait rapidement lâcher prise et j’aime cela. Elle tente les gifles aussi, m’invite à faire de même sur elle, me montre comment lui saisir la gorge, la précision du geste, la pression à avoir. J’aime apprendre.

    Esteban se joint ensuite à nous et la léchera longuement pendant que je lui caresse les seins, l’embrasse, et que mari et amant discutent sur le canapé. J’indique à l’amant qu’il peut se joindre à nous s’il le souhaite, il me remercie de lui faire part de mon consentement avisé et préfère encore un peu rester spectateur, c’est la première fois qu’il la voit jouer ainsi avec d’autres. Elle profite toujours des coups de langues d’Esteban, de sa fougue et de sa gourmandise, elle n’est pas très habituée à recevoir autant, elle est presque gênée, elle s’excuse presque de ne pas réussir à jouir.

    Puis l’amant se décide à nous rejoindre, nous voilà désormais tous les quatre sur le matelas installé au milieu du salon. Les femmes au milieu, les amants de part et d’autre, les langues se mélangent, les mains carrèssent ou mettent en branle, pour le plus grand plaisir du mari, ravi d’avoir son porno à la maison. Elle commence à chevaucher son amant, pendant que je prend Esteban en bouche. Puis nous échangeons les hommes, l’occasion pour moi de goûter à la belle queue de ce beau métisse. Lui aussi me saisi à la gorge ou me fesse. J’ai envie qu’il me « baise sale » pour reprendre l’expression du mari, mais je n’ose lui demander et l’absence de préservatif à proximité m’interroge et me fait hésiter. Esteban de son côté, protégé, baise notre hôte avec vigueur.

    Le mari nu vient ensuite se positionner près de moi, il a envie que je le suce, que je lui aspire la queue le plus possible. Il me doigte fort, presque jusqu’à ce que je je gicle. « Je veux te prendre en levrette » il me baise ensuite à quatte pattes jusqu’à épuisement.

    Il est pas loin de 4h lorsque nous reprenons nos esprits. Nous partageons nos ressentis tout en dégustant la tarte aux mirabelles faites par Esteban. Le mari trouve que j’aurai pu aller plus loin dans la découverte. Peut-être une prochaine fois… Nous remercions nos hôtes et prenons congés.

    Sur le chemin retour, nous debriefons avec Esteban. Lui aussi a vécu quelques premières fois ce soir: voir deux femmes ensemble ou se faire sucer par deux femmes en même temps. Il me remercie d’avoir accepté l’invitation. L’un comme l’autre nous sommes toutefois un peu resté sur notre faim, car il a fallu attendre pas mal de temps pour passer aux coquineries et nous nous sommes adaptés à la situation.

    Personne n’aura joui, jusqu’à ce qu’il se gare devant chez moi et que je lui propose une petite gaterie avant de rentrer à la maison…

    Plus de photos de la soirée (et bien plus encore) sur mon :

  • Mes amants,  Sentiments,  Sexualité,  Sur le vif

    Avec le cœur ?

    Comment créer une histoire quand il n’y a pas les mots qu’il faut pour l’écrire ?
    Oui j’ai ressenti des choses pour toi, mais est-ce suffisant pour pouvoir créer quelque chose qui n’existe pas ? De l’amour en pointillé. Doit-on consacrer du temps à un « nous » lorsqu’il n’y a que des bribes de temps en temps ?
    Comment donner de l’espace à une relation quand on ne sait pas dans combien de temps sera le prochain message, le prochain moment…
    Je me suis posée beaucoup de questions, pourquoi j’ai ressenti cela? Était-ce le miroir de ce que tu degageais en me regardant? Ou est-ce que ton regard était si intense en réponse à ce que moi je suis capable de donner ?
    À quoi ça sert d’avoir un coup de cœur si on ne peut pas vivre de relation ?
    Tu as raison, j’attends peut être beaucoup, c’est plus qu’un amant que j’aimerai, mais c’est parce que je crois que j’ai beaucoup à donner. Mais peut-être pas assez pour toi, car je suis mariée, et je ne peux pas tout te donner.
    Alors je donne à plusieurs hommes, parce que mon amant idéal n’existe pas, ou qu’il est déjà dans mon lit mais que j’en veux encore plus.
    Parce que ces hommes peuvent m’offrir de leur temps et de leur envie. Ils sont venus à moi pour créer ces espaces de plaisir.
    J’aime les choses simples bien plus que les compliquées.
    J’aime la vibration des corps peut être plus que les frissons des émotions.
    Et je compose avec cela… une vie où je suis épanouie.

  • Actualité,  Libertinage,  Mes amants,  Mon Homme

    4 hommes sinon rien ?

    Alors que j’héberge Vincent dans ma garçonnnière depuis quelques jours et que nous avons passé mon mercredi de télétravail entre photos sexy et expériences sensoriels, il me demande : « Est-ce que je peux rester un jour de plus ? Ne t’inquiète pas je serai parti pour 8h… Je sais que tu as ta journée de co-working de prévu demain… »

    J’accepte, de toute façon, je viens de me faire voler mon vélo et je me retrouve dans l’incapacité d’aller récupérer les clés et dans l’obligation de passer au commissariat. Il m’enverra les photos de sa super soirée parisienne tandis que je passerai une mauvaise nuit, rongée par la culpabilité d’avoir baissé ma vigilance quant à mon vélo (depuis une semaine je laissais la batterie dessus alors que je prenais soin de l’emporter avec moi jusque là).

    Le réveil est difficile, je préviens Vincent que je n’arriverai pas avant 9h, ce qui l’arrange également, car il s’est couché à 3h du matin.

    Aurélien, mon « collègue de co-working » est en route, il m’envoie un message pour me préciser qu’il arrivera vers 9h30.

    J’ai un peu de mal et c’est finalement à 9h15 que je prend la direction de la garçonnnière, je préviens Vincent que je suis là dans 5 mn, tandis qu’Aurélien m’informe qu’il est déjà arrivé et sonne déjà à l’interphone. Les deux hommes vont se croiser. Heureusement que chaque homme me connaît et sait que je suis loin d’avoir un seul homme.

    Je retrouve Aurélien devant ma porte après lui avoir ouvert à l’interphone depuis mon téléphone… Je toque à la porte, Vincent m’ouvre et est un peu surpris que je ne sois pas seule, je comprends qu’il n’a pas eu le temps de lire mon dernier message où je l’avertissais de l’arrivée d’Aurélien.

    Je fais les présentations en souriant. Je ne serai jamais dérangée à l’idée d’avoir 2 hommes pour moi, mais Vincent est sur le départ et je sais qu’il n’est pas à l’aise avec l’imprévu. Aurélien de son côté a hâte de me retrouver, mais je dois aider Vincent à charger sa voiture.

    Je porte quelques sacs de Vincent et nous descendons, seulement devant l’interphone pour quitter la résidence, je me rends compte que je n’ai pas les clés, ni mon téléphone qui m’aurait permis d’ouvrir le portail en sonnant à l’interphone. Nous nous retrouvons coincés à l’extérieur. Notre solution sera de crier en direction de mon balcon pour qu’Aurélien nous délivre de notre situation cocasse. Vincent dans la confusion avait également oublié ses clés de voiture. Il ne serait pas allé bien loin.

    Je prends quelques minutes pour dire au revoir à Vincent, on ose se serrer dans les bras et un dernier baiser dans la rue, il n’y a personne dans mon quartier à cette heure là.

    À mon retour dans ma garçonnnière Aurélien s’est installé, il commence à avoir ses petites habitudes et le code du wifi est déjà enregistré dans son ordinateur. Cela fait plus d’un mois que nous n’avons pas passé une journée ensemble, quel plaisir de le retrouver. Après ma mésaventure de la veille, la déception de ne pas avoir profité d’une soirée libertine alors que nous étions sans enfant, et la mauvaise nuit que je viens de passer, une journée de télétravail avec lui est un réconfort idéal d’autant qu’il adore me lecher et qu’il m’offre de somptueux cunnis jusqu’à l’orgasme. Nous nous abandonnons au plaisir, quand soudain je sursaute : « Mince, ma réunion ! »

    Il est 11h17, ma réunion a commencé à 11h, j’ai raté le début et ma chef a essayé de me joindre à 11h01 et 11h03 justement parce que je n’étais pas connectée mais comme il y avait le casque branché, je n’ai pas entendu sonné. Le stress ! D’après les clichés que nous avons pris à 11h03 j’étais en plein cunni ! C’est ça le sens des priorités !

    Je me confonds en excuses, explique que cette nouvelle réunion bi mensuelle dans mon agenda m’étais complètement sortie de la tête ! La prochaine fois, je mettrai une alarme !

    Toujours est-il que pendant qu’Aurélien était entre mes cuisses et que je m’abandonnais à sa langue, j’ai laissé mes pensées s’évader et imaginer avoir 2 hommes pour moi… Est-ce la rencontre fortuite entre Vincent et Aurélien qui a provoqué cela, ou bien le fait que faute de ne pas avoir réussi à voir Esteban hier soir, il a prévu de passer me voir ce soir car il n’est pas disponible demain. J’ai aussi imaginé que mon mari pourrait apprécier nous rejoindre…

    Une fois la réunion terminée j’en parle à Aurélien qui est partant pour doubler mon plaisir et que mon homme passe dans la garçonnnière. J’envoie une invitation à mon mari qui répond qu’il pourra venir vers 14h. Aurélien est ravi de voir mon grand sourire sur mon visage !

    Nous prendrons le temps de baiser comme nous aimons et de répondre à quelques obligations professionnelles avant que mon chéri toque à la porte. Les hommes se serrent la main avant qu’Aurélien ne s’occupe de moi devant notre spectateur. Il m’offre un orgasme de plus avant de me prendre en levrette !

    A quatre pattes devant mon homme je rêve de prendre sa queue en bouche. Il est installé dans un fauteuil, il ouvre son pantalon mais me dit : « Ce n’est pas très pratique. » Je me contenterai de le caresser, et de le regarder dans les yeux. Je vois son excitation, je sais qu’il aura plaisir à me baiser ce soir à la maison.

    Il devra attendre, la fin de la journée avec Aurélien, et la soirée que j’ai prévu avec Esteban. Je sais que ça l’excite que je sois aussi salope et que j’assume mes envies, même si cela signifie cumuler plusieurs rendez-vous dans une journée, et qu’aujourd’hui 4 hommes sont venus dans ma garçonnnière, qui porte très bien son nom …

    Demain, je serai sage, mais aujourd’hui je vais jouir encore et encore, parce qu’il n’y a pas mieux pour oublier les déconvenues… Esteban, aime me proposer des positions différentes et plus sportives que ce dont j’ai l’habitude. Il est aussi gourmand et généreux qu’Aurélien, ce sera chouette le jour où je pourrais les réunir, car je sais qu’ils seront tous les deux partants pour décupler mon plaisir…

    Et mon homme sera toujours là pour écouter mes récits et jouir d’excitation, rien de tel avant de rejoindre paisiblement les bras de Morphée, lovés l’un contre l’autre…

  • Mes amants,  Sur le vif

    L’insaisissable

    L’homme est imprévisible il ne prend pas rendez-vous, préviens au dernier moment, souvent tard, débordé de travail, fatigué… Je ne sais de lui que les petites bribes qu’il me dévoile, rencontre après rencontre. Il était vexé depuis quelques semaines, il aurait voulu que je me lève de mon lit pour lui procurer mes caresses qu’il apprécie tant. J’étais épuisée et sa proposition ce jour là loin d’être indécente, n’avait rien de motivant à mes yeux.

    J’ai vu qu’il m’avait bloqué, plus de photo de profil et plus d’accusé de réception à mon dernier message. Cette attitude est cohérente avec certains de ses propos, l’homme peut être impulsif, catégorique et tout arrêter brutalement selon son humeur.

    Aussi lorsque l’homme réapparaît d’un coup, plutôt que de l’envoyer balader, je lui fais comprendre qu’au fond je suis comme lui, j’écoute mes envies et je ne peux pas toujours être à sa disposition quand lui il a envie. Je crois qu’il a compris.

    C’est un homme de pouvoir, poste de directeur, il en a dans la tête, il sait ce qu’il veut, ce qu’il ne veut pas, il sait exactement ce qu’il faut faire pour mener à bien les projets qu’on lui confie.

    Belle situation, belle voiture, belle gueule, belle chemise, belle queue… Il a tout pour lui. C’est étrange comment cet homme que je trouve charismatique, de nature dominante, devient d’un coup si faible entre mes mains.

    Je crois que c’est ça que j’aime finalement chez lui : qu’il me montre ses faiblesses, qu’il s’en remette à mes mains, qu’il soit accroc à la douceur et la sensualité de mes gestes. Il aime ces moments à l’arrière de la voiture où il peut s’abandonner, lâcher prise…

    Il m’a demandé de le sucer, je lui ai fait comprendre qu’on ne réclame pas avec moi, c’est moi qui décide ce que j’offre ou pas.

    Après avoir succombé à mes douceurs il a demandé : « Je peux te poser une question indiscrète: tu as vu combien de mecs aujourd’hui ? ». Je crois qu’il était surpris d’être le seul.

    En me ramenant à la maison il s’est garé sur le côté, il avait envie de me parler. De ses expériences libertines, des enjeux de sa réunion de demain. Ça fait des mois qu’il est épuisé, qu’il est surmené, qu’il a du mal à bander… « C’est un miracle ce que tu as fait ce soir… »

    Et dire qu’il ne m’a suffit que de saisir sa queue…

  • Actualité,  Libertinage,  Mes amants

    Jouissances

    Je reçois beaucoup de sollicitations, et on me demande souvent quel est mon type d’homme, mais je ne pense pas vraiment avoir de critères particuliers pour un homme, d’un point de vue physique notamment, je n’ai pas vraiment d’exigence précise, mais ce que j’apprécie c’est la simplicité, et le plaisir… et je sais d’expérience que le fait d’être petit, grand, brun ou blond n’est pas déterminant pour prendre son pied.

    Si je suis sur un site de rencontre, je privilégie les personnes à proximité de chez moi, et lors des échanges, je vérifie si nos agendas sont compatibles assez rapidement, car s’il faut attendre un mois pour se voir, c’est beaucoup moins excitant.

    C’est ainsi, qu’une journée de télétravail, je me suis retrouvée à proposer à un inconnu, de venir presque instantanément dans ma garçonnnière. J’avoue celui qui cherche à me séduire galère, celui que je vais chercher moi-même n’a guère… qu’à me baiser !

    Ce n’est pas la première fois que je suis spontanée. Seulement cette fois, l’homme est gourmand, généreux et aussi insatiable que moi ! Aussi dès le premier rendez-vous, nous avons alterné très agréablement entre rencontres des corps et découvertes de nos âmes…

    Un savoureux mélange, et lorsque la jouissance est au rendez-vous, assez naturellement on propose un deuxième rendez-vous, puis un troisième…

    Voilà comment, en quelques jours à peine, je me retrouve heureuse d’avoir trouvé un nouveau complice… Cerise sur le gâteau, celui-ci est assez sportif et pourrait me motiver à faire un peu plus de sport. En tout cas, il est force de propositions et j’apprécie faire des étirements ou travailler mes cuisses en essayant des positions, où de base, je ne suis pas forcément à l’aise…

    Vivement mes prochaines séances d’entraînement avec mon nouveau coach ! 😁

  • Libertinage,  Mes amants,  Mon Homme,  Plaisirs,  Réflexions,  Sur le vif

    Entre frustration et plaisir

    J’avais en tête plein d’envies, plein d’idées. À l’origine, je devais abandonner mari et enfants pour un amant. Mais l’amant ayant été défaillant, j’y ai vu l’opportunité d’organiser une soirée au sauna avec mon mari. Mon après midi étant libre, j’ai écrit des mots d’excuses à mes enfants pour pouvoir les emmener dès l’après-midi chez ma maman.

    Nous voilà vers 18h dans le jacuzzi à profiter des bulles et de la détente. Rico que j’avais rencontré avec sa femme lorsque j’étais venue seule m’a confirmé sa présence, mais il sera avec une nouvelle partenaire qu’il ne connaît pas beaucoup et il ne sait pas comment il pourra jouer avec elle. J’ai bien envie de profiter de ses talents et qu’il me fasse gicler. Je veux que mon mari puisse voir cela.

    Après avoir fait un petit tour préliminaire dans les installations, Rico et sa complice du soir arrivent. Je suis dans un coin du jacuzzi et ils s’installent un peu plus loin. Je salue Rico de loin, je n’ose pas trop m’imposer. Ils viennent d’arriver, ils ont probablement besoin d’un moment à deux. Nous avons toute la soirée de toute façon…

    Au moment de quitter l’installation Rico me salue d’un baiser et me présente sa complice qui m’embrasse également sur la bouche. On discute rapidement, elle a l’air souriante et agréable. Mon mari étant déjà sorti, je n’ose pas m’éterniser avec eux, on se dit à plus tard en espérant avoir l’occasion de jouer ensemble.

    Je l’ignore, mais je viens de laisser passer la meilleure opportunité de la soirée. Parce qu’au Moon, les couples s’enferment pour jouer afin de ne pas être importuné par les hommes seuls. Nous baiserons chacun de notre côté, sans avoir pu être synchro avec eux.

    Je regrette de ne pas avoir été plus chaleureuse avec eux d’entrée de jeu, de ne pas avoir fait plus clairement les présentations, j’aurai aimé provoquer mes envies exprimées plus tôt par SMS avec Rico. J’aurais adoré interagir avec eux et aussi pourquoi pas avec l’autre couple avec qui nous avions déjà baisé Rico, sa femme et moi…

    Est ce que la présence de mon homme me rend moins entreprenante ? Est-ce plus difficile pour moi d’aller aborder d’autres hommes et d’assumer mon côté salope devant lui ? Oui j’avais envie de pluralité, mais il m’a été difficile de trouver le bon moment, la bonne approche ou la bonne personne, ou la bonne combinaison de tout ça réuni… Il y a bien eu cet homme dans le jacuzzi que j’ai laissé un peu m’efleurer, mais ses caresses n’avaient rien de sensuel et je n’ai pas du tout apprécié que l’un de ses premiers gestes soit d’essayer de mettre ma main sur sa queue. Je l’ai stoppé direct.

    Oui c’est frustrant de savoir qu’un amant de qualité est présent ce soir mais de ne pas pouvoir en profiter. Oui c’est frustrant de se dire que parmi tous ces hommes présents, il doit bien y en avoir un ou deux qui pourraient bien me baiser devant mon mari, mais le(s)quel(s) ? Pas envie de laisser le hasard et le premier venu décider à notre place.

    Et puis finalement, dois-je regretter d’avoir profité exclusivement de l’homme que je connais depuis 20 ans ? De l’avoir regardé dans le jacuzzi avec envie. Dois je considérer comme décevante une soirée où j’ai aimé qu’il soit mon amant?

    J’ai aimé le sucer dans le hammam et le jacuzzi, j’ai adoré les sensations de sa queue en moi, sur ce matelas un peu plus haut que notre habituel lit. C’était bon de se faire limer la chatte dans cette position qui donnait de nouvelles sensations, voir le reflet de notre étreinte à travers le miroir au plafond, entendre le claquement de nos corps en fusion.

    Alors, oui en tant que libertine expérimentée ayant déjà vécu quelques agréables orgies, je suis sortie du Moon en restant un peu sur ma faim. Mais ça fait partie du jeu du libertinage, parfois tout est fluide et parfois la magie n’opère pas. Cela ne se contrôle pas. Je vous rassure mon homme avait encore des ressources pour satisfaire mes ardeurs en rentrant ! Et quelle baise mémorable également au petit matin, dans ma petite tenue de salope rouge, en évoquant toutes nos envies et tous les bons moments qui nous attendent….

  • Mes amants,  Sexualité,  Sur le vif

    Le kiff

    Combien d’hommes sont venus, m’ont baisée et sont repartis ? Pas évident de trouver l’amant idéal ou un homme qui s’en rapproche ! Ces derniers mois j’ai eu l’impression d’être la libertine galérienne des rencontres éphémères. Je préfère en rire et j’assume complètement le fait d’avoir eu comme adage: « il faut laisser sa chance au produit ! » Au moins j’y ai pris du plaisir, la plupart du temps.

    Je m’estime heureuse d’avoir rencontré mon collègue de co working en janvier ! J’adore les journées que nous passons ensemble à baiser, j’aime la simplicité de la relation et le fait qu’il prend régulièrement des nouvelles. J’aime moins attendre un mois pour profiter de lui et des belles jouissances qu’il m’offre. Mais je ne vais pas me plaindre, c’est une chance de vivre une telle relation.

    Je voulais son clone, près de chez moi pour pouvoir en profiter à volonté. Alors, ce n’est pas son clone, mais enfin, je l’ai rencontré cet homme que je voulais dans ma vie et surtout dans mon lit. Je viens de le rencontrer il y a quelques heures, et ces quelques heures je les ai passé à discuter, rire et baiser encore et encore. J’ai trouvé mon alter ego. Cet homme qui allie proximité, disponibilité, gentillesse, savoir vivre, simplicité, envie, insatiabilité. Je suis ravie à l’idée de très vite profiter de nouveau de lui à volonté, de savourer sa queue encore et encore et déguster notre compatibilité physique jusqu’à épuisement !

    Demain, je vais somnoler, sentir la fatigue et les courbatures sur mon corps. Ma chatte ressentira peut être encore les effets de sa queue en moi. Qu’importe j’ai adoré baiser ainsi et j’aime encore plus l’idée que nous allons nous branler à y repenser et que nous nous retrouverons bientôt pour de nouvelles aventures !

  • Actualité,  Libertinage,  Mes amants,  Mon Homme,  Sexualité

    Un après midi de récup

    Les heures supp cumulées me permettent d’avoir le droit à une après midi de récup. Cela fait un moment que mon mari a envie de m’accompagner dans un club ou un sauna. Il rêve de me voir en gang bang ou d’un peu de détente. D’un point de vue logistique le sauna nous permet de mieux respecter les horaires pour aller récupérer les enfants à l’école. C’est mon mari qui s’en chargera, car parallèlement, mon bel amant dispose exceptionnellement d’un hôtel sur Paris.

    Voilà des années que nous n’avons pas eu l’opportunité de nous retrouver mon bel amant et moi dans un écrin d’intimité, je le préviens que je n’ai pas envie de jouer au Scrabble. Il m’averti qu’il est fatigué et qu’il ne voudrait pas que je sois frustrée ou déçue. Je sais que cela signifie qu’il y a peu de chance pour que je le sente en moi. C’est paradoxal, mais mon bel amant est un homme qui me baise peu, je m’y suis habituée. Sa queue n’en reste pas moins délicieuse et nos moments de belles bulles de sensualité, de tendresse et d’émotions.

    Le début d’après midi est calme à l’éclipse. Il n’y a pas grand monde dans le jacuzzi ou les coins câlins, il faut patienter un peu que les couples arrivent et ce n’est pas forcément simple de créer des interactions. Nous avons l’impression que les couples veulent rester entre eux, ou nous ne nous sommes pas retrouvés au bon endroit au bon moment pour finir dans une orgie des corps. Peu importe, nous profitons des installations pour de bons moments de détente et baisons joyeusement dans cette petite rotonde avec miroir au plafond. J’ose timidement approcher un couple un peu plus tard, mais alors qu’il m’invite du regard et de la main, elle, reste les yeux fermés tout le temps où j’ai les mains sur ses seins ou sa chatte. Je n’insiste pas, monsieur aura seulement glissé ses doigts sur mon intimité avant que nos chemins se séparent.

    Il me reste 1h30 à patienter sur Paris pour voir mon bel amant lorsque mon mari reprend la voiture. Je pourrais faire du shopping, mais même si mon mari m’a bien léchée et prise en levrette, je reste avec cette envie d’être une belle salope. Afin de ne pas reporter tous mes espoirs sur mon bel amant et lui mettre de pression, je me dis que j’ai largement le temps de prendre le métro en direction du Moon. Oui, c’est une petite folie mais ça me ressemble tellement !

    Me voilà donc quelques minutes plus tard de nouveau en paréo à profiter de l’autre jacuzzi. D’ailleurs je n’avais jamais eu l’occasion de remarquer de manière si évidente la différence entre les deux. Celui de l’éclipse propose de la détente grâce à des jets d’eaux, celui du Moon offre de vraies bulles qui remontent à la surface.

    C’est à l’étage dans la chaude humidité du hammam que j’aperçois la silhouette d’un homme qui pourrait me convenir. Après quelques minutes de détente et une fois les autres personnes sorties de l’installation, il s’approche en douceur de moi. Sans un mot, mais non sans regards intenses et sourires, il fini dans ma bouche et ses doigts sur ma chatte.

    L’évidence nous mène à nous enfermer dans un coin câlin, où je déguste sa queue pendant qu’il lèche et titille ma chatte. Nous en profitons longuement. C’est un bon amant, beau corps, belle queue, il me fait vibrer. Il ne me manque pas grand chose pour jouir, mais notre envie nous pousse vers une délicieuse baise qui nous fera enchaîner plusieurs positions : lui sur moi, levrette, moi sur lui face à lui, puis moi sur lui dans l’autre sens lui offrant une vue sur mon cul. Il me veut encore dans sa bouche. Pour notre deuxième 69 ce sera lui sur moi. Savoureux. Il finira par me défoncer en levrette. Je rigole en lui disant « enchantée ! » après cette jouissance.

    Nous reprenons nos esprits et une douche. Je me dis que s’il souhaite me revoir et qu’il me le demande je lui laisserai mon numéro. Il préfère retourner dans le jacuzzi. Je dois de toute façon rejoindre mon bel amant dans quelques minutes. Nous avons tous les deux eu ce que nous voulions.

    Les deux heures qui ont suivies étaient plus tendres et délicates. Une parenthèse où nous nous sommes remémorés les nombreux beaux souvenirs de nos petits instants entre amants. La relation a changé avec la distance qui nous sépare désormais, mais peu importe le temps qui passe, mon bel amant sera toujours une belle relation dans ma vie. Un homme complice de mes moments de folies. Il me fera jouir de ses doigts avant que je ne rejoigne mari et enfants…

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    Entre mes mains

    Nos premiers rendez-vous ont été fluides et spontanés, de vrais « Fuck Yes » : 3 rendez-vous tard le soir, en une semaine, révélant une belle comptabilité physique et du plaisir en perspective. On a plus baisé que discuté et je ne sais pas encore si cette relation qui me semble prometteuse se transformera en belle complicité, j’aimerai bien. Nous ne savons quasiment rien l’un sur l’autre. Tu sembles être un homme occupé, insaisissable. Nos échanges sont ciblés sur l’essentiel: nos envies et nos compatibilités d’agenda pour les assouvir. Depuis 3 semaines c’est plus compliqué pour se voir.

    Tu commences souvent les discussions après 22h par l’emoji d’une rose ou d’un baiser
    Je te réponds:
    « Quand est-ce que tu seras dispo pour un moment sympa ?
    -Pas trop le moral. J’ai envie de me laisser faire plutôt que d’agir, ce qui n’est pas trop cool pour toi, J’ai envie d’être branlé dans ma voiture. C’est pas glamour comme fantasme.
    -Moi j’ai envie d’une vraie complicité simple
    -Je sais, je ne sais pas pourquoi je suis en panne comme ça: Juste dans un mood de me laisser faire, une femme qui me fasse bander et me fasse du bien de manière désintéressée et pas parce que j’ai une grosse queue dont elle veut profiter. Bref, besoin d’être chouchouté. Ça m’arrive de temps en temps.
    -Tu veux venir?
    -Si tu me branles dans ma voiture, et me fais jouir doucement. Pas envie de monter dans ta chambre et de te prendre sauvagement
    -Juste avec mes mains ?
    -Oui et un peu d’huile… »

    Tu te mets en route et arrives une vingtaine de minutes plus tard.
    Je t’attends en bas, et pour la première fois je monte dans ta voiture. Il ne nous faut pas grand-chose, juste une place pour se stationner dans un endroit calme et sans éclairage. Nous tournons un peu, finissons dans une voie sans issue, tu es contraints de faire une marche arrière sans grande visibilité. Lorsque je te suggère de tester une autre allée tu me sors: « Je vais te maudire si on se retrouve encore coincés! » Tout ce que je veux, c’est ton plaisir. J’ai déjà ma main froide depuis quelques minutes sur ta queue. Le froid semble excitant.
    Nous trouvons enfin une place pour mettre à exécution notre envie. « On peut aller à l’arrière, il y a des vitres teintées ». Tu installes un plaid que tu avais dans ton coffre entre les sièges avant pour réduire la possibilité d’être vus.

    Enfin mes mains peuvent prendre pleine possession de ta queue, une au-dessus, l’autre en dessous, je la recouvre complètement, avec douceur et fermeté. Tu laisses échapper une expiration, semble tout excité. Ton membre est bien dur, je peux bien le sentir. Toi qui ne veux pas être considéré que comme une grosse queue, tu viens pourtant de la placer au centre de notre connexion, en la glissant entre mes doigts, qui se mettent subtilement à l’œuvre. De petits gestes, tout en douceur, lents, millimètre après millimètre, maintenir une tension, sans faire grand-chose. Accueillir les sensations, être à l’écoute des réactions de ta virilité, de ta respiration, de tes mots. « C’est trop bon, tu as déjà fait ça, c’est pas possible… » Jamais vraiment comme ça, de cette façon-là et uniquement cela. Une première pour nous deux, une petite folie, une parenthèse que nous avons plaisir à faire durer. Je varie les gestes, l’intensité, le rythme, je compose une partition à l’écoute de ton souffle, de tes gémissements, de ce plaisir qui semble t’envahir.

    J’aime cette idée de te faire passer un message à travers mes doigts: oui je peux être à l’écoute de tes envies, réaliser ce fantasme, te câliner, te chouchouter, faire abstraction de mon envie de te sentir en moi. Je te comprends, tu ne veux pas qu’on s’intéresse qu’aux sensations qu’un homme bien membré peut procurer aux femmes, tout comme je n’ai pas envie qu’on vienne juste pour me baiser et qu’on reparte. Je te le dis, avec des mots cette fois: « J’ai vraiment envie de faire ta connaissance, d’apprendre à te connaitre, petit à petit, parce que c’est aussi comme ça que l’on prendra plus de plaisir ensemble ».
    On échange un baiser, une étreinte, tu as envie de voir et caresser mes seins. Tu soulèves mon pull tandis que mes mains se remettent doucement en action. Tu as envie que je te raconte cette soirée « Apéro libertin/sauna » de vendredi. Tu sembles moins gêné cette fois que je te parle d’un autre homme. Peut-être qu’avec ta queue entre mes mains, c’est plus simple. Je ne te branle pas vraiment, je te caresse, je descends jusqu’à tes bourses pour les enserrer, pas besoin d’huile finalement: « Tu es douce! » Ma douceur se métamorphose en fermeté, puis le rythme s’accélère, les gestes se font plus précis, plus amples et plus rapides, nul besoin de ma bouche cette fois pour te faire gicler avec une belle intensité, et des cris que tu ne peux contenir. J’en ai partout sur les mains, heureusement que tu as pris aussi des lingettes…

    Je crois que désormais je ne pourrais m’empêcher de sourire à chaque fois que je passerai par là pour aller au bureau, et de repenser à cette bulle de plaisir à l’arrière de ta voiture…et je suis ravie du dialogue que cela a fait naitre et des futurs moments en perspective…