• Actualité,  Libertinage,  Sexualité

    Tout ce que je n’ai pas raconté !

    Soirée entre amis ! On met la musique, on boit une coupe de champagne… Ma robe n’est pas aussi sexy que le jour d’avant et des collants opaques ont remplacé les résilles. « Que racontes-tu de beau ? » S’ils savaient que la veille j’avais plaisir à retrouver une partie de mes amis libertins lors d’un apéro qui s’est terminé très agréablement en tête à tête dans un sauna, puis dans une chambre d’hôtel…

    Je ne réponds que des banalités sur le quotidien, famille/ travail. Ils ont probablement des doutes depuis toutes ces années, ils ont bien détectés que nous n’étions ni jaloux, ni possessifs. « Vous n’avez pas les mêmes mœurs que nous ! » l’un d’eux a-t-il échappé cet été après un verre en terrasse. Je sais qu’ils ne tomberaient pas des nues si un jour la vérité m’échappait. Mais c’est une question de respect. Je ne veux pas les heurter et chacun doit respecter les valeurs des autres. Je n’ai pas à leur imposer le déballage de mon intimité et ce que cela implique concernant mon mari, leur ami d’enfance. J’assume qui je suis et ce que je fais, pour autant, notre sexualité, nos valeurs et nos pratiques ne regardent que nous et les personnes avec qui nous décidons de les partager. Vivons heureux ! Vivons cachés ! C’est important de préserver un équilibre ! Et cela n’empêche pas de temps en temps d’évoquer les sujets coquins et même libertins en rigolant !

    Il y a des années, l’un des meilleurs ami de mon mari m’a dit:  » Ah sympa le blog ! ». J’ai répondu du tac au tac: « Ah oui t’as vu ! » comme si c’était normal. Bluffait-il ? Probablement, et s’il ne bluffait pas et qu’il me lit et bien je le salue !

    L’année 2021 a été un peu particulière pour les libertins, entre fermetures d’établissements et couvre feu, difficile d’organiser des choses une bonne partie de l’année ! J’ai passé une année très épanouissante sexuellement malgré tout, avec notamment depuis mars mon petit lieu à moi. Ma garçonnière qui rend pas mal de choses possibles…

    Je réalise qu’il y a beaucoup de choses que je n’ai pas (encore) raconté ! Je baise plus que je n’écris ! J’ai eu plaisir en tout cas à:

    • Organiser des têtes à têtes dans ma garçonnière avec mes complices
    • Être accompagnée de mon mari lors de certaines sorties et devenir officiellement un couple échangiste
    • Passer la nuit chez une femme
    • Aller seule au sauna
    • Se laisser aller dans une pluralité masculine dans un club
    • Retourner au sauna et réaliser que mon homme est envieux de m’y accompagner également

    Je ne peux consigner ici tous mes moments libertins, ils sont trop nombreux, et ne font pas toujours l’objet d’une particularité à raconter.

    J’aime tous ces moments quelqu’en soit leur durée et qualité, parce que chacun de ces moments me donne le sentiment de vivre intensément ma vie!

    Vous pouvez suivre les bribes instantanées de ma vie libertine sur Twitter ! J’ai d’ailleurs ajouté à ce blog une rubrique « Best of my Tweets » pour chaque mois.

    Et je souhaite à tous de beaux moments de plaisir à deux ou plus…

  • Best of my Tweets

    Best of my Tweets – Décembre 2021

    Parce que depuis plusieurs années déjà, Twitter est devenu mon lieu d’expression en instantané et que j’y exprime les bribes de mes pensées libertines. J’ai décidé de collecter ici le meilleur de mon Twitter… A retrouver chaque mois, via la rubrique « Best of My Tweets »

  • Actualité,  Mes amants,  Récits coquins,  Sexualité

    Entre mes mains

    Nos premiers rendez-vous ont été fluides et spontanés, de vrais « Fuck Yes » : 3 rendez-vous tard le soir, en une semaine, révélant une belle comptabilité physique et du plaisir en perspective. On a plus baisé que discuté et je ne sais pas encore si cette relation qui me semble prometteuse se transformera en belle complicité, j’aimerai bien. Nous ne savons quasiment rien l’un sur l’autre. Tu sembles être un homme occupé, insaisissable. Nos échanges sont ciblés sur l’essentiel: nos envies et nos compatibilités d’agenda pour les assouvir. Depuis 3 semaines c’est plus compliqué pour se voir.

    Tu commences souvent les discussions après 22h par l’emoji d’une rose ou d’un baiser
    Je te réponds:
    « Quand est-ce que tu seras dispo pour un moment sympa ?
    -Pas trop le moral. J’ai envie de me laisser faire plutôt que d’agir, ce qui n’est pas trop cool pour toi, J’ai envie d’être branlé dans ma voiture. C’est pas glamour comme fantasme.
    -Moi j’ai envie d’une vraie complicité simple
    -Je sais, je ne sais pas pourquoi je suis en panne comme ça: Juste dans un mood de me laisser faire, une femme qui me fasse bander et me fasse du bien de manière désintéressée et pas parce que j’ai une grosse queue dont elle veut profiter. Bref, besoin d’être chouchouté. Ça m’arrive de temps en temps.
    -Tu veux venir?
    -Si tu me branles dans ma voiture, et me fais jouir doucement. Pas envie de monter dans ta chambre et de te prendre sauvagement
    -Juste avec mes mains ?
    -Oui et un peu d’huile… »

    Tu te mets en route et arrives une vingtaine de minutes plus tard.
    Je t’attends en bas, et pour la première fois je monte dans ta voiture. Il ne nous faut pas grand-chose, juste une place pour se stationner dans un endroit calme et sans éclairage. Nous tournons un peu, finissons dans une voie sans issue, tu es contraints de faire une marche arrière sans grande visibilité. Lorsque je te suggère de tester une autre allée tu me sors: « Je vais te maudire si on se retrouve encore coincés! » Tout ce que je veux, c’est ton plaisir. J’ai déjà ma main froide depuis quelques minutes sur ta queue. Le froid semble excitant.
    Nous trouvons enfin une place pour mettre à exécution notre envie. « On peut aller à l’arrière, il y a des vitres teintées ». Tu installes un plaid que tu avais dans ton coffre entre les sièges avant pour réduire la possibilité d’être vus.

    Enfin mes mains peuvent prendre pleine possession de ta queue, une au-dessus, l’autre en dessous, je la recouvre complètement, avec douceur et fermeté. Tu laisses échapper une expiration, semble tout excité. Ton membre est bien dur, je peux bien le sentir. Toi qui ne veux pas être considéré que comme une grosse queue, tu viens pourtant de la placer au centre de notre connexion, en la glissant entre mes doigts, qui se mettent subtilement à l’œuvre. De petits gestes, tout en douceur, lents, millimètre après millimètre, maintenir une tension, sans faire grand-chose. Accueillir les sensations, être à l’écoute des réactions de ta virilité, de ta respiration, de tes mots. « C’est trop bon, tu as déjà fait ça, c’est pas possible… » Jamais vraiment comme ça, de cette façon-là et uniquement cela. Une première pour nous deux, une petite folie, une parenthèse que nous avons plaisir à faire durer. Je varie les gestes, l’intensité, le rythme, je compose une partition à l’écoute de ton souffle, de tes gémissements, de ce plaisir qui semble t’envahir.

    J’aime cette idée de te faire passer un message à travers mes doigts: oui je peux être à l’écoute de tes envies, réaliser ce fantasme, te câliner, te chouchouter, faire abstraction de mon envie de te sentir en moi. Je te comprends, tu ne veux pas qu’on s’intéresse qu’aux sensations qu’un homme bien membré peut procurer aux femmes, tout comme je n’ai pas envie qu’on vienne juste pour me baiser et qu’on reparte. Je te le dis, avec des mots cette fois: « J’ai vraiment envie de faire ta connaissance, d’apprendre à te connaitre, petit à petit, parce que c’est aussi comme ça que l’on prendra plus de plaisir ensemble ».
    On échange un baiser, une étreinte, tu as envie de voir et caresser mes seins. Tu soulèves mon pull tandis que mes mains se remettent doucement en action. Tu as envie que je te raconte cette soirée « Apéro libertin/sauna » de vendredi. Tu sembles moins gêné cette fois que je te parle d’un autre homme. Peut-être qu’avec ta queue entre mes mains, c’est plus simple. Je ne te branle pas vraiment, je te caresse, je descends jusqu’à tes bourses pour les enserrer, pas besoin d’huile finalement: « Tu es douce! » Ma douceur se métamorphose en fermeté, puis le rythme s’accélère, les gestes se font plus précis, plus amples et plus rapides, nul besoin de ma bouche cette fois pour te faire gicler avec une belle intensité, et des cris que tu ne peux contenir. J’en ai partout sur les mains, heureusement que tu as pris aussi des lingettes…

    Je crois que désormais je ne pourrais m’empêcher de sourire à chaque fois que je passerai par là pour aller au bureau, et de repenser à cette bulle de plaisir à l’arrière de ta voiture…et je suis ravie du dialogue que cela a fait naitre et des futurs moments en perspective…