Récits coquins

  • Actualité,  Libertinage,  Plaisirs,  Récits coquins

    Co working

    Tout a commencé par des GIF de cunnilungus dans ma TL.

    Je ne sais pas comment cet homme est apparu dans ma TL, c’est probablement le hasard d’une fausse manip ! Mais j’aime l’idée d’accueillir ce qui s’offre à moi, surtout après une journée avec des échanges décevants et des dernières rencontres centrées surtout sur le plaisir de ces messieurs !

    Je lui pose quelques questions, lui lance quelques perches pour lui donner l’opportunité de tenter sa chance, mais il reste impassible. Alors je me jette à l’eau :

    Et voilà comment je me suis retrouvée à passer une journée entière à faire du co-working avec un quasi-inconnu. Enfin, je ne peux pas vraiment dire que nous avons beaucoup travaillé.

    Ce fut une belle journée remplie de ces vagues de plaisir intense. J’ai aimé ses caresses, sa douceur, ses doigts, sa langue, of course… Avoir le temps, profiter. Jouir. Lui rendre la pareille. Le déguster longuement. Un partout.

    La collègue qui avait du retard lors de notre point hebdomadaire m’a permis de savourer un deuxième cunni. 2-1

    Après ma réunion Teams c’est à son tour de rappeler un de ses collaborateurs qui avait tenté de le joindre à deux reprises. Je crois qu’il a aimé mon initiative, et tant pis s’il a eu du mal à rester concentré pendant ma prise en bouche. Il me prendra après cet appel pour remettre le score à égalité.

    Des pauses douceurs caresses mêlées de mots pour faire connaissance, nus, allongés sur le matelas. Nous nous contenterons de croissants, pains aux chocolats et shokobons pour nous substanter, entre les deux rounds supplémentaires que nous offrira cette journée.

    Qu’il est agréable de composer ainsi une journée autour du plaisir, d’avoir le temps et cette envie d’encore….

  • Actualité,  Fantasmes,  Libertinage,  Récits coquins,  Sexualité

    Gang Bang

    Le plus dur était probablement de se lancer. Besoin d’un minimum de séduction pour m’emporter, mais une fois partie, ce fut un total lâcher-prise, une profusion de queues dans ma bouche, mes mains, ma chatte. À en perdre la raison, à ne plus voir qui me baise ou qui je branle ou suce. Peu importe qu’il soit petit, grand, beau, moche, jeune, vieux, chemise blanche ou noire, une totale perte de contrôle. Des sollicitations non stop, des queues à volonté. Être un objet utilisée pour le plaisir, un baise qui peut où j’ai à peine mon mot à dire.

    J’ai adoré, et pour toute contribution d’au moins 5€ m’aidant à financer mes projets, je vous enverrai en cadeau de remerciement le récit audio détaillé de ce moment de décadence totale. Plus d’une heure où ma voix vous transportera dans les sombres alcôves d’un club libertin…

    Un grand merci pour ceux qui participeront et me permettront de poursuivre ce blog et mes projets…

  • Actualité,  Mes amants,  Récits coquins,  Sexualité

    Entre mes mains

    Nos premiers rendez-vous ont été fluides et spontanés, de vrais « Fuck Yes » : 3 rendez-vous tard le soir, en une semaine, révélant une belle comptabilité physique et du plaisir en perspective. On a plus baisé que discuté et je ne sais pas encore si cette relation qui me semble prometteuse se transformera en belle complicité, j’aimerai bien. Nous ne savons quasiment rien l’un sur l’autre. Tu sembles être un homme occupé, insaisissable. Nos échanges sont ciblés sur l’essentiel: nos envies et nos compatibilités d’agenda pour les assouvir. Depuis 3 semaines c’est plus compliqué pour se voir.

    Tu commences souvent les discussions après 22h par l’emoji d’une rose ou d’un baiser
    Je te réponds:
    « Quand est-ce que tu seras dispo pour un moment sympa ?
    -Pas trop le moral. J’ai envie de me laisser faire plutôt que d’agir, ce qui n’est pas trop cool pour toi, J’ai envie d’être branlé dans ma voiture. C’est pas glamour comme fantasme.
    -Moi j’ai envie d’une vraie complicité simple
    -Je sais, je ne sais pas pourquoi je suis en panne comme ça: Juste dans un mood de me laisser faire, une femme qui me fasse bander et me fasse du bien de manière désintéressée et pas parce que j’ai une grosse queue dont elle veut profiter. Bref, besoin d’être chouchouté. Ça m’arrive de temps en temps.
    -Tu veux venir?
    -Si tu me branles dans ma voiture, et me fais jouir doucement. Pas envie de monter dans ta chambre et de te prendre sauvagement
    -Juste avec mes mains ?
    -Oui et un peu d’huile… »

    Tu te mets en route et arrives une vingtaine de minutes plus tard.
    Je t’attends en bas, et pour la première fois je monte dans ta voiture. Il ne nous faut pas grand-chose, juste une place pour se stationner dans un endroit calme et sans éclairage. Nous tournons un peu, finissons dans une voie sans issue, tu es contraints de faire une marche arrière sans grande visibilité. Lorsque je te suggère de tester une autre allée tu me sors: « Je vais te maudire si on se retrouve encore coincés! » Tout ce que je veux, c’est ton plaisir. J’ai déjà ma main froide depuis quelques minutes sur ta queue. Le froid semble excitant.
    Nous trouvons enfin une place pour mettre à exécution notre envie. « On peut aller à l’arrière, il y a des vitres teintées ». Tu installes un plaid que tu avais dans ton coffre entre les sièges avant pour réduire la possibilité d’être vus.

    Enfin mes mains peuvent prendre pleine possession de ta queue, une au-dessus, l’autre en dessous, je la recouvre complètement, avec douceur et fermeté. Tu laisses échapper une expiration, semble tout excité. Ton membre est bien dur, je peux bien le sentir. Toi qui ne veux pas être considéré que comme une grosse queue, tu viens pourtant de la placer au centre de notre connexion, en la glissant entre mes doigts, qui se mettent subtilement à l’œuvre. De petits gestes, tout en douceur, lents, millimètre après millimètre, maintenir une tension, sans faire grand-chose. Accueillir les sensations, être à l’écoute des réactions de ta virilité, de ta respiration, de tes mots. « C’est trop bon, tu as déjà fait ça, c’est pas possible… » Jamais vraiment comme ça, de cette façon-là et uniquement cela. Une première pour nous deux, une petite folie, une parenthèse que nous avons plaisir à faire durer. Je varie les gestes, l’intensité, le rythme, je compose une partition à l’écoute de ton souffle, de tes gémissements, de ce plaisir qui semble t’envahir.

    J’aime cette idée de te faire passer un message à travers mes doigts: oui je peux être à l’écoute de tes envies, réaliser ce fantasme, te câliner, te chouchouter, faire abstraction de mon envie de te sentir en moi. Je te comprends, tu ne veux pas qu’on s’intéresse qu’aux sensations qu’un homme bien membré peut procurer aux femmes, tout comme je n’ai pas envie qu’on vienne juste pour me baiser et qu’on reparte. Je te le dis, avec des mots cette fois: « J’ai vraiment envie de faire ta connaissance, d’apprendre à te connaitre, petit à petit, parce que c’est aussi comme ça que l’on prendra plus de plaisir ensemble ».
    On échange un baiser, une étreinte, tu as envie de voir et caresser mes seins. Tu soulèves mon pull tandis que mes mains se remettent doucement en action. Tu as envie que je te raconte cette soirée « Apéro libertin/sauna » de vendredi. Tu sembles moins gêné cette fois que je te parle d’un autre homme. Peut-être qu’avec ta queue entre mes mains, c’est plus simple. Je ne te branle pas vraiment, je te caresse, je descends jusqu’à tes bourses pour les enserrer, pas besoin d’huile finalement: « Tu es douce! » Ma douceur se métamorphose en fermeté, puis le rythme s’accélère, les gestes se font plus précis, plus amples et plus rapides, nul besoin de ma bouche cette fois pour te faire gicler avec une belle intensité, et des cris que tu ne peux contenir. J’en ai partout sur les mains, heureusement que tu as pris aussi des lingettes…

    Je crois que désormais je ne pourrais m’empêcher de sourire à chaque fois que je passerai par là pour aller au bureau, et de repenser à cette bulle de plaisir à l’arrière de ta voiture…et je suis ravie du dialogue que cela a fait naitre et des futurs moments en perspective…

  • Actualité,  Mon Homme,  Récits coquins,  Sexualité

    Jour de décadence

    Première partie à lire ici

    Jour J, je suis super excitée à l’idée de ce que nous sommes en train d’organiser, il nous reste à valider la réservation de la chambre, à s’assurer que l’homme que j’ai sélectionné est toujours partant, et laisser libre court à toute sorte d’envie qui s’imposerait. Aujourd’hui tout est possible et cette perspective est très enivrante. Je réponds à quelques sollicitations, dont celle d’un charmant photographe. Je suce mon homme quelques instants, avant de se lever, laissant l’envie de plus en suspens. « Je te baiserai seulement ce soir! » me promet-il.

    J’appelle ma maman pour m’assurer qu’elle est toujours d’accord pour s’occuper de nos « bébés qui sèment la pagaille ». Je prends ma douche, mets les enfants dans le bain. Alors que mon homme regarde une dernière fois les chambres d’hôtel pour valider notre choix, je lui demande si la perspective de rencontrer un deuxième homme dans la soirée lui conviendrait. « Pourquoi pas, c’est toi qui choisi mon amour!
    – Et me lécher un peu là maintenant sans me faire jouir? »
    Il ne se fait pas prier pour mon plus grand plaisir.

    Pour la chambre, nous décidons de faire une folie et de choisir une suite dans un hôtel près de Saint Michel. Le budget est un peu plus important, mais la chambre est très spacieuse et nous permettra d’être plus à l’aise pour recevoir tout invité. Je propose au photographe de nous rejoindre après le restaurant pour qu’il soit mon dessert. Il accepte.

    Un troisième homme, un mec qui a l’air cool et marrant est dans les startings blocks, trop loin pour que je puisse habituellement donner suite, il se montre très motivé à l’idée de me rencontrer:
    « C’est dommage de ne pas pouvoir baiser à cause de la distance, je suis sur qu’on s’entendrait bien, il faut qu’on trouve une solution!
    – C’est quoi tes dispos sur aujourd’hui et demain?
    – Cet après midi et demain toute la journée.
    – Nous avons réservé un hôtel, pourquoi pas nous apporter les croissants demain matin?
    – Tu te fais baiser déjà cette nuit?
    – On a prévu une ou deux rencontres cet après midi et ce soir. Si j’ai encore faim je te contacte pour les croissants, on a la chambre jusqu’à 11h. »

    Je m’habille sexy, choisi ma jolie lingerie, prépare un sac avec les escarpins, les bas, les sextoys… Il est 14h lorsque nous prenons la route. On dépose les enfants, sans trop s’attarder. Direction Paris! J’informe mon homme que notre premier rendez-vous sera vers 16h, ce qui nous laisse juste le temps d’arriver à l’hôtel. A la réception l’homme nous demande si nous avons fait bon voyage, nous sourions. La suite est dans l’autre bâtiment sur le trottoir d’en face, nous sommes contents de voir que c’est une entrée indépendante, la venue d’invités sera plus discrète.

    Nous avons à peine le temps de découvrir la chambre et sa déco rétro, que je reçois un message: « Je suis là! » Je lance à mon homme: « Tu restes là, je vais le chercher! » Je lui ai donné rendez vous sur la place à proximité. Je le vois au loin, je m’approche pour m’assurer que c’est lui, avec les masques, c’est pas forcément simple de se reconnaitre.

    Les quelques mètres à parcourir me permettent de lui expliquer que le contexte de notre rencontre est un peu particulier, que ça ne se déroulera pas comme si nous étions seuls tous les deux, que le temps que j’aurai à lui consacrer sera limité à ce qu’il se passe dans la chambre, mon mari n’interagira pas ou peu. « Très bien, je m’adapte! » Nous entrons dans la chambre. Les présentations sont rapides. J’enlève mes bottes, l’invite à enlever ses chaussures, et nous nous lançons directement dans un rapprochement, très doux et sensuel. Nous nous déshabillons mutuellement vêtement après vêtement, prodiguant par la même occasion d’agréables caresses. Pendant qu’il caresse ma poitrine je cherche du regard mon homme, je vois un sourire sur son visage. Il y a des miroirs dans la pièce, cela me permet de voir dans le reflet de celui ci, les mains de mon amant sur moi et mon homme installé dans le canapé. Une très belle image de candaulisme. Une fois le plus gros des vêtements tombés, mon homme nous dit: « Il y a un lit à côté! »

    Nous nous y installons. Il s’en suit des vagues de douceur et sensualité. Je le libère de son boxer, ne résiste pas à l’envie de goûter à cette verge bien tendue. Il a un corps métissé parfaitement musclé. Mes mains glissent partout, je le sens vibrer. Ses doigts aussi s’aventurent sur moi et me font frissonner. Nous prenons le temps de savourer ces ondes, cette envie monter. Je m’allonge, il se cale dans mon dos, contre mes fesses, tout en délicatesse et douceur. Nous restons de longues minutes comme cela à profiter délicatement l’un de l’autre. C’est littéralement du slow sexe, qui est très puissant en terme d’excitation et de plaisir. De la subtilité, de la sensualité. Je lance un regard en direction de mon homme à l’occasion. Il semble apprécier, même s’il ne nous observe pas en permanence puisqu’il navigue en parallèle sur son téléphone. Vient alors le temps de se parer d’un préservatif pour envisager aller plus loin, l’occasion d’aller glisser quelques mots à l’oreille de mon mari pour s’assurer verbalement que tout va bien. RAS, je peux continuer sereine avec mon amant.

    Je le reprends en bouche pour l’aider à enfiler la protection, je suis allongée sur le dos tandis que mes jambes glissent sur le côté au moment où il vient en moi, tout en douceur comme le début. Puis avec un peu plus de rythme. Il semble très sensible à chaque interaction, très excité peut être par la situation. Il ne tarde pas à jouir, son plaisir est beau à voir.

    Nous le laissons disposer de la salle de bain. Après sa douche, je vais échanger quelques mots avec lui. Il me dit qu’il a passé un bon moment et qu’il va nous laisser profiter de la soirée en amoureux. Je m’excuse pour le côté un peu expéditif de ce rendez-vous. « Pas de soucis, l’essentiel c’est le plaisir de chacun! » Je le raccompagne jusqu’à l’entrée de l’hôtel, le remercie pour l’agréable moment que je viens de passer.

    17h30, je prends une douche à mon tour, puis me rhabille, il est l’heure de sortir boire un verre. Je demande à mon chéri s’il est partant pour un autre rendez-vous en soirée. « Comme tu veux! J’ai beaucoup aimé, mais je trouve qu’il ne t’as pas beaucoup baisé »

    Je regarde mon téléphone, un message du photographe: « Hello, désolé j’ai un imprévu pour ce soir, je suis désolé, je viens de l’apprendre alors je te le dis le plus tôt possible! »…

  • Mes amants,  Récits coquins,  Sexualité,  Sur le vif

    Fast fuck

    J’ai pris ma journée à l’occasion d’un rendez-vous sur Paris le matin. Mon bel amant ne peut finalement pas se libérer l’après midi mais nous convenons de nous retrouver une heure près de la gare j’ai tout de même envie de me faire belle et sexy pour lui.

    14h45 je viens de rentrer chez moi, je m’installe devant mon ordinateur , voilà des jours que je regarde les profils Wyylde en vue d’assouvir les envies candaulistes de mon homme, non sans provoquer en moi régulièrement de l’excitation.

    15h L. est en ligne, son profil a depuis quelques temps retenu mon attention ! Un homme charmant, très classe avec un corps bien musclé. Un physique très attirant. Niveau conversation, le jeune homme est plutôt direct, son « Très envie de prendre Madame » d’il y deux jours était sans équivoque. C’est peut-être ça qu’il me faut, un corps à corps torride plutôt que des discussions qui traînent en longueur et ne mènent nul part. Je suis en tout cas très excitée au moment où il me propose de me donner son adresse. J’ai envie, mais j’hésite. Je veux dans tous les cas l’aval de mon homme.

    15h15 Il valide, je prends les clés de la voiture et la direction de l’adresse indiquée. Il me dit qu’il m’attend dans sa chambre, je lui demande de garder quelque chose à enlever. J’aime cette adrénaline au volant de la voiture.

    15h35: Je me gare et suis les instructions envoyées par SMS, au fond de la cour à droite, 1er étage à gauche. La porte est entre ouverte ! J’entre, la pièce est vide, je lui dit « Bonjour » au loin en enlevant mes bottes avant de le rejoindre dans la chambre. Il est allongé dans son lit et caresse sa queue déjà bien dure ! Son corps bien dessiné, il est en plus beau gosse.

    Il se lève fait glisser ma robe découvrant la jolie lingerie et les bas que j’avais mis pour mon bel amant ! Cette tenue sexy a sans doute contribué à ma présence ici et maintenant. Il enlève mon soutien gorge, caresse mes seins. De mon côté je caresse sa queue dans son boxer avant de la délivrer et de me mettre à genoux pour en prendre possession. Je le prends en pleine bouche, ma langue titillant son gland. Il semble aimer. « Ça se voit que tu aimes ça ! » Il fait glisser ma culotte et ses doigts sur mon intimité: « Mais tu es déjà toute trempée ! » s’étonne t il.

    « Parce que tu crois que je peux sucer une queue sans être toute excitée ? »

    15h45: Je lui propose de s’allonger: « Tu veux t’empaler sur moi ? » Non, je veux juste jouer encore avec sa virilité, avec mes mains, ma bouche, mes seins. Il baise littéralement ma bouche: « Je pourrais rester comme ça pendant des heures ! »

    -Alors profites en autant que tu veux ! »

    Il pourrait aller jusqu’à la jouissance comme ça, mais il a quand même envie de me baiser ! Il se pare d’un préservatif. « Dans quelle position est-ce que tu veux que je te prenne? »

    Je m’allonge, je le veux sur moi pour le voir, les jambes relevées pour mieux le sentir ! Sa queue me donnant des assaults: « Alors comme ça tu aimes baiser avec un inconnu ? « 

    Oui j’aime assumer ce brin de folie, être salope et suivre mes envies, avoir envie d’un beau corps, d’une belle queue. Sans blabla, ne pas me prendre la tête, aller à l’essentiel, du sexe pur, presque animal, et ces mots que nous échangeons pour faire connaissance pendant qu’on baise sont très excitants!

    « Use moi autant que tu veux ! »

    « Viens que je te prennes en levrette, que je te baise comme une chienne ! »

    Ses coups de reins sont vifs, je savoure chacun de ses assauts ! Il profite de moi à sa guise pour notre plus grand plaisir ! Il sent qu’il a envie de jouir. Il se retire, enlève son préservatif : « Où est-ce que tu veux que je jouisse ?  » Je m’allonge et lui suggère mes seins. J’approche ma bouche du bout de son gland, ma main droite sur mon clito, la gauche sur mon téton. « Tu te caresses souvent comme ça ? » semble t il s’étonner de mon initiative ! Nous nous mettons en branle à l’unisson jusqu’à ce que son foutre chaud gicle sur mes seins.

    16h15: « ça fait du bien ce genre de pause dans une journée de télétravail ! » il regarde sa montre, « J’ai une réunion à 16h30, timing parfait ! » Étonnement nous prenons le temps de nous découvrir brièvement, d’échanger sur nos boulots respectifs, tout en nous rhabillant ! Je le trouve classe ! « En ce moment je suis à la maison très souvent en journée, tu reviens quand tu veux ! »

    16h27: Je reprends la route détendue, le sourire aux lèvres, je vais même pouvoir rentrer tôt et aller chercher les enfants à l’école.

  • Actualité,  Mes amants,  Plaisirs,  Récits coquins

    Délicieuses retrouvailles

    Complices de 2013 à 2014, je suis incapable de dire combien de nuits nous avons passé ensemble à l’époque. Entre nous, ce n’était pas que du sexe, mais une belle amitié et des moments de rire autour d’une bonne omelette qu’il savait bien cuisiner, de musique ou autre. Nous avons concrétisé de nombreuses envies ensemble et vécu plusieurs trios. Puis il a été en couple, j’ai eu mon premier enfant, puis mon deuxième. Presque 4 ans sans nouvelles. Il y a plusieurs mois, en cuisinant une omelette, je lui envoie la photo avec un petit message accompagnée de pensées pour lui. Pas de réponse.

    Soudain, au milieu de l’été, un message, des excuses de ne pas avoir répondu, c’était une période compliqué pour lui, et puis il aurait préféré que je pense à lui pendant un orgasme plutôt qu’en cuisinant une omelette. Ces dernières années, j’ai fait plus d’omelettes que j’ai eu des orgasmes avec des amants! Il a fait un burn out et commence tout doucement à s’en sortir. Même si j’ai d’autres perspectives de rencontre en ce moment, je lui propose de se revoir, avec l’appréhension que ça pourrait être décevant, pas comme avant, mais l’envie est là tout de même de reprendre de ses nouvelles. Rendez-vous est pris, puis reporté avec un soupçon de déception. L’occasion de me rendre compte que mes intentions ne sont pas seulement amicales mais aussi coquines.

    Le jour J je le préviens de mon départ de la maison, il y a environ 45 minutes de voiture, je mets la musique à fond, je suis bien, j’aime la perspective de ce rendez-vous et je réalise que je serai déçue s’il n’y a pas de corps à corps torride! On ne sait pas dans quel état d’esprit on est l’un et l’autre, mais je sais aussi combien on peut être timide, ou discuter jusqu’à pas d’heure. Mon envie est évidente, alors j’ose. J’ai tout à gagner à être claire sur mes intentions. Je profite de l’arrêt à la station service pour lui envoyer un message explicite. Sa réponse me donne le sourire.

    En arrivant, on ne se jette pas l’un sur l’autre, ce ne serait pas approprié, mais après une rapide visite de son appartement nos baisers et nos mains se retrouvent doucement et permettent bientôt à nos vêtements de tomber sur le sol. Quel plaisir de retrouver son sourire, ses mains, sa langue. Ses cunis sont toujours aussi passionnés et divins. Je sais que je peux en profiter. Ma jouissance ne tarde pas. Je prends également possession de sa virilité un long moment. Le sentir en moi est très agréable, j’aime retrouver ces sensations au rythme de ses coups de reins, ses expressions, son sourire, son côté câlin. J’ai toujours apprécié ce mélange de fougue et de tendresse. Mon plaisir est une valeur sûre avec lui, de quoi balayer toutes les petites appréhensions que j’avais.

    Nous passerons une longue soirée nus dans son appartement à nous raconter nos histoires avec de la bonne musique, je souris à apprécier tous les ingrédients qui avaient accompagnés nos soirées et nuits quelques années en arrière. L’impression de voyager un peu dans le temps. Il est agréable de constater que la complicité n’a pas disparue, il ne fallait pas grand chose pour qu’elle revienne. Il me propose de rester dormir, j’accepte, les enfants sont de toute façon chez leur mamie. Nous perdons la notion du temps, il est 1h30 lorsque nous nous couchons et recommençons nos ébats. Nous sentons la fatigue nous envahir et regrettons presque d’avoir trop parlé. J’aurai pourtant pu faire durer ce délicieux 69 pendant des heures, en tout cas c’est l’envie qui m’a traversé l’esprit pendant que j’étais en train de le savourer…

    J’ai peu dormi cette nuit là, le fait de ne pas être chez moi, l’appréhension d’avoir des bouchons le lendemain pour aller au travail, mais qu’importe, j’ai adoré ces délicieuses retrouvailles.

  • Libertinage,  Récits coquins,  Sexualité,  Sur le vif

    Qu’as tu préféré de cet après-midi ?

    Difficile de ne garder qu’une image en tête!

    – Flotter dans l’eau chaude du jaccuzzi enlacé dans tes bras

    – Monter à l’étage dans les coins câlins presque vides, savourer la chaleur du sauna et ta langue sur mes tétons, tes doigts sur mon clito, m’offrant un premier orgasme

    -Croiser ce couple finissant leurs ébats dont la femme s’exclame « très joli sourire » et nous dit « à plus tard » dévoilant son envie de toi

    – Redescendre au bar pour profiter d’un cocktail, se désinhiber un peu et apprécier la convivialité qui se dégage de toutes les personnes réunies autour du bar.

    -Sourire en te voyant sortir ton huile de massage, ton arme de séduction massive, dont l’odeur enivrante, arrive aux narines de notre voisine déjà charmée par ton sourire, envieuse désormais de tes mains sur son corps

    -Remonter m’allonger dans cette petite salle aux miroirs invitant ce couple à se joindre à nous et bientôt se retrouver avec six mains massant mon corps huileux

    -Proposer à cette jolie femme blonde plus âgée de s’allonger à son tour pour apprécier les bienfaits de tes mains, de ta langue

    -Caresser également  longuement son corps pour intensifier les effets de ton massage et la faire chavirer encore plus, tout en me collant  à son compagnon dont l’envie devient visible

    -Continuer ces gestes sensuels envers toi ou elle tout en appréciant le plaisir prodigué par son homme venu installer son visage sous mon intimité

    -Aimer l’excitation et le plaisir ressenti par chacun, les regards, les sourires, en disent long, peu importe l’âge, le physique, seul compte les attentions des uns envers les autres

    -Gémir des assauts de cet homme qui me prend en levrette, entendre son plaisir tout en regardant sa femme prendre possession de ta verge pendant que ta main s’agite vivement sur son clito après l’avoir léché

    – Apprécier la douceur de caresses clitoridiennes délicates post coïtum en vous regardant profiter l’un de l’autre.

    – Prendre le temps de savourer ce moment à quatre, d’échanger quelques mots, de sourire, de se remercier avant de passer dans la pièce d’à côté.

    – S’asseoir dans la grande salle pour se reposer en regardant un couple en plein ébats tandis qu’une très belle femme seule est dans une position étrange:  agenouillée, tête  sur le sol, nous offrant une jolie vue sur sa croupe.

    – Rester ou aller ailleurs? Au premier regard échangé avec cette femme, elle tend le bras vers moi pour toucher ma main… impossible de dire non à une telle invitation!

    -L’embrasser, la caresser et rapidement coller ma bouche sur son clito doté d’un piercing. Entendre ses gémissements et ne pas la lâcher, diversifiant les assauts de ma langue, titiller, aspirer, parfois en apnée…

    -Être 4, puis 6, puis 8, lécher, sucer, caresser,  des membres virils, des seins, des clitos.. Donner, recevoir, être prise à plusieurs reprises dans différentes positions, être léchée, doigtée, caressée. Ne plus savoir qui est avec qui mais savourer l’harmonie qui se dégage de ce long moment.

    – Et puis ces échanges de sourires, ces regards bienveillants et heureux inondent la pièce. Nous faisons l’amour à huit, avec nos corps, nos yeux et nos sourires. Complices ou anonymes. Douce ivresse.

    -Décider de rester encore un peu alors que tu dois partir. Envie de profiter de la magie de ce moment. Le mari de la jolie femme avec qui j’ai passé un bon moment me montre son plaisir en dessinant avec ses doigts un cœur sur mon sein. Un beau geste. Non, il n’est pas tombé amoureux mais il a comme moi et je pense chacun de nous aimer ce moment.

    -Prendre longuement cette jolie femme dans mes bras et la remercier pour tout ça!

    -Rester encore raconter les grandes lignes de nos histoires, et échanger nos avis sur les lieux libertins de la capitale…

    – Laisser à ce joli couple resté anonyme une adresse mail comme une bouteille à la mer, pour leur donner l’opportunité  de ne pas compter uniquement sur le hasard pour se revoir , en attendant c’est aussi ce hasard qui fait la magie et la beauté de ces moments…

  • Féminité,  Libertinage,  Mes amants,  Récits coquins

    Soirée épicée

    Une première rencontre entre deux personnes est toujours un moment particulier.  Il y a une petite poussée d’adrénaline, l’envie de plaire, d’être à la hauteur de cette nouvelle situation. Prendre possession de la chambre d’hôtel, juste avant, s’accorder un premier moment de plaisir en souriant de voir tout près les TGV passer.

    Comme souhaité je me suis apprêtée, mon corps a été enduit d’huile parfumée, son choix s’est porté sur des dessous rouge et noir, une robe moulante trop sexy pour que j’ose la porter au bureau, et des talons hauts qui rendent toute femme désirable. Un peu de fond de teint, du fard à paupières, du mascara et un peu de rose léger sur mes lèvres, j’aime, les yeux dans le miroir me faire toute belle. Puis, nous nous retrouvons autour d’un verre sur une terrasse. Je suis complimentée pour ma tenue. Je me sens très féminine, très bien dans ma peau, j’assume comme rarement j’ose mon sex appeal, je suis ravie d’être là, et j’adore les perspectives de cette soirée.

    Vient le temps de faire plus ample connaissance, les mots, les sourires, les regards se font intenses. Chacun s’affirme, cherche sa place. Lequel des deux aura le dernier mot? Il est encore tôt pour le dire, mais je sais déjà qu’à un moment donné, j’aurai les mains liées. Tour à tour chacun prend la parole, se jauge. J’observe, j’aime ma position. Nous prenons la direction du restaurant, étape indispensable pour prendre le temps de mieux cerner qui nous sommes et nos envies. Cet entre deux, autour d’un cocktail et de plats légèrement épicés est un délicieux préliminaire, où regards intenses et mains baladeuses s’alternent et en disent longs sur les intentions coquines. J’aime ce baiser furtif rapidement déposé sur mes lèvres malgré les personnes en présence, ses douces caresses sous la table et notre fou rire lorsque nous nous rendons compte que nos sujets coquins arrivent jusqu’aux oreilles de la table voisine. Peu nous importe à vrai dire si l’issue coquine de notre soirée est visible aux yeux de tous.

    Lorsque nous arrivons dans la chambre ornée de jolies poutres, mes vêtements tombent doucement. Nos baisers sont moins timides, ses mains douces parcourent mon corps. Il observe. Bientôt me voilà allongée sur le lit, nue, me laissant emportée par son désir de domination. Je suis priée de lui tendre mes poignets pour qu’ils soient liés. Je ferme les yeux, m’abandonne au plaisir, je vibre et je gémis…

    Lorsque je reprends mes esprits, je vois les poutres du plafond, elle à ma gauche, lui à ma droite, ils s’embrassent. Même s’ ils se tiennent tête depuis le début de la soirée pour mener le jeu, les voilà à l’unisson pour mon plaisir…

    J’adore être spectatrice de leur rencontre intellectuelle et charnelle. Mes mains s’invitent encore nouées sur leurs corps. Le jeu à trois continue.  On me délivre de mes liens, pour mieux pouvoir prodiguer mes caresses. J’aime ces complicités mêlées qui se tissent et se mélangent. Elle est belle, plus encore quand elle joui. Lui le regard intense n’a d’envie que notre plaisir. Nous rirons, partagerons nos expériences et nos jouissances jusqu’à près de deux heures du matin, au grand désespoir de nos voisins de chambre.

    J’ai adoré cette soirée pleine de charme, de surprise et de plaisir!

  • Libertinage,  Mes amants,  Récits coquins,  Sur le vif

    Chaleur

    C’est notre quatrième chambre louée pour quelques heures, en autant d’établissement, nous sourions de devenir des testeurs d’hôtels.  A peine la porte franchie nous sommes heureux que ce petit dix mètres carré avec le minimum syndical, toilettes et douche soit climatisé. Pour le peu de temps que nous resterons, l’essentiel n’est pas les prestations à notre disposition, mais bien ce que ce lieu nous permet de faire.

    Nous nous débarrassons de nos sacs et affaires, nous prenons dans les bras et nous embrassons. Tu t’exclames: « ça fait tellement longtemps! ». On s’est pourtant vu il y a deux jours. Rapidement ma robe d’été tombe, nos mains se baladent sur nos corps, nos baisers s’enflamment, ma petite culotte se retrouve sur le sol. Tu me plaques contre le mur, ça commence à devenir une habitude. J’aime te sentir ainsi contre moi. Il fait chaud, une douche ne serait pas du luxe, mais pour le moment, nous préférons faire monter encore plus la température. Tu glisses tes mains dans mon intimité, je sens du bout des doigts ta queue gonflée de désir à travers ton boxer. Je vibre, j’adore cela, je pourrais rester des heures comme ça. Je n’ose encore me retourner, je sais l’effet que ça te fait, mais me voilà face contre le mur et fesses contre toi. Je sais que bientôt tu me prendras comme ça, mais pas encore, je veux d’abord profiter de tes baisers, de tes caresses, de la chaleur de ton corps. Ce désir puissant nous attire l’un à l’autre. Je me retourne pour me plonger dans ton regard si intense. Il ne me reste que mon soutien gorges, tandis que tu es en boxer. Plus pour longtemps. Tu es complètement nu, je saute sur l’occasion pour m’accroupir et te prendre en bouche, ma chaleur t’envahit, ma langue tourne autour de ton gland, ta main s’appuie contre la porte d’entrée pour ne pas succomber, j’aime entendre tes soupirs dans ces moments de plaisir, je te regarde dans les yeux, te souris. Je profite de toi, mais bientôt tu m’interromps, tes envies se font plus claires: « Tu ne m’en veux pas si on garde la douche pour après, là, j’ai envie de toi! ». Jamais, je ne t’en voudrais de vouloir me prendre, surtout debout appuyée contre ce mur. Je suis sur la pointe des pieds, cambrée, pour mieux sentir ta queue en moi. C’est si bon.

    Puis le lit nous fait envie: « Quelle position souhaites-tu? ». Peu t’importe. Je te veux sur moi, les yeux dans les yeux, je te sens bien comme ça. Mes mains parcourent ton dos, nos baisers accompagnent notre plaisir. Puis te voilà sensible, tu m’interroges:
    « Tu fais quelque chose là?
    -Rien pourquoi?
    -Si, tu contractes…
    – Ah oui, ça, tu as raison, je n’y fais même plus attention.
    -J’aime beaucoup!
    – Et bien c’est ce qu’on « s’amuse » à faire lors de la rééducation du périnée. »

    Nous en rions, avant que notre corps à corps reprenne de plus belle, et que nos mots, continuent de naturellement trouver leur place dans notre intime. Nous évoquons, nos ressentis, nos expériences, nos petites histoires, nos envies aussi. Un jour, nous nous ferons l’amour rien qu’avec les yeux, c’est sur ta liste, mais ce qui te plait, ce sont toutes ces choses qui ne sont pas sur cette liste et que nous ferons.

    Mais là tout de suite, je veux me retourner, face contre les draps non défaits, je soulève mes fesses pour mieux te sentir. Je ne te vois pas, mais je t’aime en moi. Quelque soit la position, je ne m’en lasse pas. Nous en profitons longuement. Ce sont les yeux dans les yeux que nous jouirons un peu plus tard, nos corps dégoulinants par cette forte chaleur. Nous prenons le temps de récupérer de nos ébats, avant de nous diriger vers cette douche bien méritée. Vivement la prochaine fois!