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J’aime, J’aime pas!
J’aime pas la sonnerie du réveil
J’aime pas quand les jours sont pareils
J’aime les silences entre nous
J’aime pas les moustiques en été
J’aime pas te voir tout habillé
Mais j’aime être en dessous
J’aime danser toute nue sous la pluie
J’aime assez quand tu aimes aussi
J’aime pas la guerre entre nous
J’aime pas quand le film est fini
J’aime pas tout ce que tu me dis
J’aime le faire n’importe où
Et si tu n’aimes pas ce que j’aime
Pour moi, c’est du pareil au même
Si je t’aime, après tout,
Le reste, je m’en fous
Paroles de Zazie
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Et si…
Et si ce Blog s’arrêtait? -
Mon petit plaisir…
Ce matin en me réveillant, je fus animée par une douce envie de volupté et de plaisir. Seule, je restai donc bien confortablement installée sous la chaleur de la couette, et me laissai envahir par d’agréables pensées…Allongée sur le ventre, je me recroqueville sur moi-même comme pour m’enfermer dans un cocon de volupté, propice à un plaisir égoïste dont je connais si bien le secret. Ces pensées ne tardent pas à me faire de l’effet!
Instinctivement, mes mains se mettent à parcourir doucement mon corps: ma poitrine, mon ventre, puis mon entrejambe. J’aime prendre le temps de me caresser à travers ma petite culotte, ne pas l’enlever tout de suite, pour contenir l’envie et faire monter l’excitation. Mon majeur sait parfaitement comment alterner les douces caresses et les petits mouvements plus insistants autour de mes lèvres. Puis il finit par se glisser dans ma petite culotte, s’imprégnant aussitôt de mon humidité.
Le plaisir est bien au rendez-vous et qu’il est bon de jouer avec mon bouton d’amour, de faire monter l’excitation sans aller jusqu’à la jouissance pour en profiter encore et encore. Je me pince les lèvres et me plonge dans mes pensées les plus coquines. Mon plaisir mentale, est en parfaite adéquation avec mon plaisir physique. Il ne me reste plus qu’à décider de l’instant où, comme une délivrance, je laisse mon excitation prendre le dessus et m’emmener vers les frissons les plus intenses. Je savoure ce moment d’abandon…
Qu’il est bon de se réveiller en pensant à toi!
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Docteur Lo
Aujourd’hui je vous invite à découvrir le Blog tout en Bande Dessiné de Dr Lo, que je résumerai en 4 mots: belge, coquin, sarcastique et drôle!
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Oups!
hihi, et oui, hier j’ai été distraite et du coup j’ai même pas penser à publier un petit article! Pour me faire pardonner je vous propose ces deux petites photos…
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Lost in translation
Hier soir avec mon homme, nous avons regardé le film de Sofia Coppola « Lost in Translation » C’est l’histoire de deux personnes dans un pays qui leur est totalement étranger, le Japon, ils sont perdus, ils sont seuls alors ils se rapprochent.
En tout cas ce qui m’a touché c’est d’assister à la naissance d’un lien qui se créé entre 2 êtres. Amour, amitié, on ne sait pas trop, mais leur complicité est belle, et m’a rappelé à quelle point les histoires platoniques peuvent être intenses, belles et bouleversantes!
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Le Violon d’Ingres
Le Violon d’Ingres, est un photo-collage de Man Ray faisant référence à l’odalisque du Bain Turc d’Ingres. C’est une image surréaliste autant qu’un jeu de mots. Breton la publia dans l’ultime numéro de Littérature en juin 1924.
Man Ray aimait utiliser des étoffes lorsqu’il photographiait son modèle préféré Kiki. Kiki de Montparnasse, née Alice Prin au tout début du XXe siècle, fut l’une des figures les plus marquantes de la vie artistique parisienne de l’entre-deux guerres, lors des Années Folles. Égérie et amie de très nombreux artistes – Modigliani, Duchamp, Desnos, Picasso, Cocteau, Aragon, bon nombre des surréalistes -, Kiki fut la muse et l’inspiratrice de créateurs devenus depuis des signatures majeures de l’art moderne, comme Foujita et ici, Man Ray.
Le « violon d’Ingres » est aussi une expression. Ingres ne faisait pas que peindre, quand son art lui laissait un peu de temps, il s’adonnait à la musique et en l’occurrence au violon. Musicien amateur, Ingres était un artiste connu et l’expression « Violon d’Ingres » s’est vite propagée. Elle a d’abord désigné cette activité seconde d’un artiste qui pratiquait un art qui n’était pas le sien : « le violon d’Ingres de Zola : la photographie ». Par extension, la formule a désigné toute activité secondaire, à connotation artistique choisie par goût.
Et vous, c’est quoi votre violon d’Ingres?
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Premier trimestre encourageant!
Et oui aujourd’hui ça fait trois mois! A la place des statistiques je vous propose cette jolie courbe!Hihi très beau, non? Bon c’est sur ce ne sont pas des courbes féminines mais bon chaque pic correspond à la fréquentation de mon blog suite à la publication d’une galerie photo sur un site coquin! ;)
Ben on fait ce qu’on peut pour essayer d’attirer quelques lecteurs! ;)
J’avais voulu mettre quand même une petite photo de moi, mais le ventilateur de mon ordi m’a laché :(
Je vais être obligée de squatter l’ordinateur de mon homme, et en plus je n’aurai pas mes petites photos…
Dur dur!
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Autour d’un chocolat chaud…
« Il y a peu, je me suis retrouvée, en face d’un chocolat chaud, en train de parler avec un homme de ma petite aventure sur la Blogosphère! L’endroit était raffiné, et le service impeccable! Nous étions confortablement installés et la tranquillité nous permettait d’aborder tous les sujets de conversation de notre choix!
L’invitation avait pour moi quelque chose d’inédit, j’avais en face de moi un quasi inconnu, et il n’était en aucune façon question d’aller plus loin qu’une conversation. J’avais naturellement choisis pour l’occasion d’être féminine…Outre un petit ensemble assorti, mon choix se porta, sobrement, sur un petit chemisier rouge, une jupe longue noire et des collants opaques.
Au fil de la conversation je m’efforçai de ne pas rentrer dans ce rapport de séduction qui, pour moi, existe naturellement entre un homme et une femme, évitant de m’attarder dans un regard, ou un sourire. Je restai chaste dans mon attitude, certes, mais il m’était impossible de le rester avec mes mots face à la curiosité de mon interlocuteur…
Et puis il y eut ce regard, un peu plus long que les autres, et marqué par ce silence. Peut être anodin, mais pendant quelques secondes, il suscita en moi quelques questionnements… Si le temps s’était arrêté à cet instant, je crois que mon naturel serait revenu au galop et mes pensées se seraient évadées vers mes fantasmes…
Je baissai les yeux et me replongeai dans mon chocolat chaud retrouvant mon état d’esprit initial. Je me contentai des quelques évocations suggestives et laissai mes questions sur le bout de mes lèvres. Peut être pour ne pas prendre le risque, que les réponses ne suscitent en moi davantage de curiosité et de trouble…
Arriverai-je un jour à rester complètement indifférente au regard d’un homme avec lequel je parle de mon petit jardin secret?
Peut être faudrait-il pour cela que celui qui m’écoute ne me plaise pas du tout!En tout cas ce fut l’un des meilleurs chocolat chaud que j’ai eu l’occasion de déguster! »
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Schizophrénie?
Mais qui est donc cette jeune femme?Lilou l’audacieuse blogueuse qui se dévoile sans complexe?
ou bien M. qui reste prudente et ose à peine montrer son visage de peur qu’on la reconnaisse?
Et oui, nous avons tous notre vie bien rangée et notre petit côté coquin!
Nous avons tous cette dualité, mais sommes nous pour autant des schizophrènes?
J’aime beaucoup à ce sujet l’ « Entretien avec un chacal » de Luj qui est un très bel exercice de style et apporte une très belle réflexion!
Et en ce qui me concerne j’essaie simplement d’être moi-même, certes je me cache derrière le pseudo de Lilou mais cela me permet d’être plus libre et audacieuse! J’assume mon côté coquin, et je compose un équilibre avec la prudence de M. et l’audace de Lilou!
