Mais qui est Lilou?
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En fin de compte!
Des hommes, il y en a eu quelques uns dans ma vie,
certains avec qui j’ai juste discuté, d’autres que j’ai rencontré,
certains qui ont été charmés, d’autres qui m’ont séduite,
certains où j’y ai juste pensé, d’autres que j’ai embrassé,
certains qui m’ont vu nue, d’autres qui m’ont fait l’amour,
certains sans lendemain, d’autres que j’ai vu et revu,
certains m’ont fait fantasmer, d’autres m’ont fait rêver
mais j’ai beau essayé de compter, à mes yeux, un seul compte,
celui sans qui je ne serai pas la femme que je suis,
celui sans lequel tout le reste n’existerait pas,
celui que j’aime et qui est tous les jours à côté de moi…
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Contrastes
Je ne suis pas Lilou! Je le deviens! Et oui, ça va peut être vous surprendre, mais dans la vie de tous les jours, je ne suis pas toujours super sexy et féminine, bien au contraire! Ma routine est un traditionnel « métro, boulot, dodo » dans lequel je ne cherche ni à plaire, ni à séduire. Le matin lorsque je me lève, je me dirige donc la plupart du temps vers un pantalon et un pull, tout ce qu’il y a de plus banal, et je ne prend même pas le temps de me maquiller! Ainsi, le plus souvent, les personnes qui me côtoient au quotidien sont loin de se douter quelle femme je peux bien être.
Mais heureusement, il y a des jours, où je me sens bien. Des jours où j’ai envie de prendre un peu plus soin de moi, des jours où j’ai envie d’être jolie, féminine! Ces jours là, il me suffit que de quelques vêtements que j’aime bien, ces petits hauts décolletés, ou ces petites jupes, de jolies sous-vêtements, un peu de maquillage, et ça change tout. Je me sens bien, féminine, joueuse, sûre de moi. Ces jours là, j’ai le sentiment de jouer avec le feu, de montrer au grand jour la jeune femme coquine qui est en moi. J’ai parfois peur d’être reconnue. Mais j’aime jouer avec mon côté Lilou, car c’est lorsque je suis comme ça, que je suis vraiment moi même, épanouie.
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Nostalgie?
C’était il y a quelques années, bien avant que je rencontre mon homme. J’étais à l’époque célibataire, et quasi inexpérimentée sexuellement. Il s’appelait Gilles, habitait Le Havre et c’est quasi tout ce que je savais de lui.
Un soir il me proposa de m’appeler, car il avait très envie de trouver une jeune fille avec qui il pourrait avoir une petite conversation coquine. D’abord réticente, je fini par accepter sa proposition et lui donner mon numéro. Ce fut pour moi également une première. Me dévoiler ainsi de vive voix à un inconnu. Lui parler de mon intimité. Me montrer coquine et partager avec lui du plaisir.
C’est impressionnant comme on se prend au jeu. Nous sommes devenus de tendres complices et avons à maintes occasions fantasmé ensemble pendant nos petits rendez-vous téléphoniques. Il avait trouvé en moi « une douce partenaire dans les routes tortueuses de ses désirs sexuels les plus perchés ». Et moi je m’imaginais déjà la rencontre explosive de nos deux corps.
Puis il est parti en Afrique, a rencontré une jolie africaine avec laquelle il s’est marié et est revenu en France. Je suis tombée récemment avec plaisir sur ces emails que nous nous étions échangés à l’époque. L’adresse n’existe plus, aucun Gilles ne répond au numéro de téléphone, mais les souvenirs d’une belle complicité sont toujours là…
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Sur le canapé
Pour une fois, nous ne nous sommes pas dirigés directement vers le lit. A peine arrivée, tu m’as plaquée contre la porte et m’a offert tes lèvres comme doux préliminaire qui n’a fait qu’accroitre notre envie. Les vêtements sont tombés un à un sur le sol, entre mains baladeuses et fougueux baisers.
Je ne pu refuser l’invitation que tu me lanças de venir te rejoindre sous la douche. L’eau est venu comme une caresse se mêler à nos corps enlacés l’un contre l’autre. Ce fut une délicieuse mise en bouche pour la suite. Une fois séchés, je t’ai suivi sur le canapé, où il fut bien agréable de varier les déhanchés et les plaisirs.
Nous avons profité de ces frivolités pendant un long moment, avant de nous remettre de cette étreinte, plus calmement assis sur le canapé. C’est alors que soucieux à ce que je n’attrape pas froid, tu es allé cherché dans les vêtements rapidement tombés à terre, cette petite chemise blanche que je portais en franchissant la porte.
C’est avec cette petite attention, un peu par hasard, que tu me fit découvrir à quelle point une petite chemise blanche peut être sexy! En tout cas, je me demande encore pourquoi tu as remis ton T-shirt, si ce n’est pour que je te l’enlève à peine 2 minutes plus tard…
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Protégé : Lilou mise à nue
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Portrait chinois
Pingoo m’a tagué, alors je me prête au jeu! Et puis en même temps ça me fait le post du jour! ;)
Si j’étais un slip je serai un tanga
Si j’étais un sextoy je serai un stylo
Si j’étais un fantasme, j’aurai deux hommes pour moi toute seule
Si je devais faire l’amour à un animal, il faudrait vraiment que je sois saoule
Si je devais te dire quelque chose à l’oreille pendant qu’on fait l’amour, je te dirai « encore »
Si j’étais Clara Morgane mais avec mon cerveau actuel, je militerai pour le port du préservatif
Si j’étais une zone érogène, je serai le lobe de l’oreille
Si j’étais un détail absolument irrésistible, je serai une bretelle qui tombe de l’épaule
Si j’avais une morale sexuelle, j’essaierai de la suivre
Si je me réveillais demain sans vagin, je profiterai de tous les autres plaisirs -
A nos actes manqués
Il faisait froid, mais le temps était clair, c’était la troisième fois que nous nous voyions. Tu me plaisais, je te plaisais, C’était une évidence! Il y a des regards et des sourires qui ne trompent pas.
Nous nous sommes assis autour d’un café pour discuter, mais les mots étaient timides, retenus, comme pour nous donner bonne conscience de ne pas trahir les personnes qu’il y avait entre nous. Tu osas à peine m’avouer: « ah si j’habitais près de Paris, je te couvrirai de fleur » « Je t’attendrai… des années s’il le faut… »
Plus d’une fois je t’ai regardé en me rendant compte à quel point je te trouvais beau et en réalisant combien j’étais sensible à ton charme naturel, à cette sensibilité à fleur de peau qui me faisait chavirer. Plus d’une fois je me suis imaginé me rapprocher de toi, déposer un baiser sur ta joue, prendre ta main ou encore te serrer dans mes bras…
Et ce jour là, malgré les évidences, je gardai au fond de moi, toutes ces émotions, préférant attendre le moment où nous serions libres de pouvoir enfin les exprimer. Et au moment de te dire au revoir, la peur de rater mon bus m’a empêché de te serrer affectueusement dans les bras…
Si j’avais su à ce moment là que cette liberté ne nous serait pas accordé, et si j’avais su que c’était la dernière fois que je te voyais, alors peut être que je n’aurai pas hésité, et peut être que ça aurait tout changé…
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Réflexion
Vous l’avez peut être constaté Lilou en ce moment n’écrit plus beaucoup…
Peut être parce qu’il y a pas mal de jolies photos à publier, peut être par manque de temps.
Peut être aussi parce que Lilou a autre chose en tête, des projets, des changements…
Parfois, même si on ne le souhaite pas forcément, il est finalement bon de se retrouver seul face à soi même, réfléchir sur sa vie, ses envies… et faire le point sur ce qui compte vraiment à ses yeux!
Parce qu’il est important de regarder dans le miroir et de savoir qui l’on est pour savoir où l’on veut aller!
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Protégé : A votre avis Lilou est plutôt…
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Mon stylo bien aimé…
Vous vous souvenez des stylos bic quatre couleur qu’on avait à l’école quand on était petit… et bien figurez vous qu’un jour j’ai fait l’acquisition d’un stylo de ce genre, mais avec non pas 4 mais 12 couleurs! La taille était donc un peu plus large et plus longue, un peu comme l’illustration ci dessus, même si ce n’est pas tout à fait le modèle que j’avais.
Toujours est il qu’à l’adolescence, au moment de la découverte de mon corps et de mes premières caresses, j’eus un jour l’idée de transformer ce super stylo en objet de plaisir… Je ne sais pas d’où m’est venu cette idée, mais en tout cas, ce stylo s’avéra idéal pour une introduction en douceur avec son embout fuselé. Sa longueur et sa largeur s’adaptait parfaitement à mon anatomie.
Ce fut un vrai délice de découvrir pour la première fois, de façon aussi douce et délicate ce plaisir. J’y ai vite pris goût au point d’enlever toutes les mines du stylos, et de ne l’utiliser que pour mes petits plaisirs solitaires. Toujours à portée de main, « ce sextoy malgré lui » fut pendant longtemps mon meilleur compagnon…
