3 commentaires

  • Anonyme

    la linguale arithmie vulvaire en cercle concentriq force l intime fragance qui perle sur leurs bouches, sur leurs lèvres. l’onde sourde de ces ventres, afamé part la jouissance prete à les subemerger, fusionne et enprisonne cette liberté. L’obturateur jamais ne ce ferme car de tous il le sai, l’X silouhette en est l atrai. Sur le grain de peaux le soleil en un halo irradi la chambre noire de son cervo qi s’y fait écho. Sur le lit, assi en suspant, une étole de siam protège ce tableau du temps.

  • Anonyme

    Des larme bleu en cascade ruissel aux vertus de seins mutin… le coeur du viuant, pour l éternite d’un prénom est épri, du terrestre monde pour l’infinissant eu compris . Glabre protection immuable les turpitude de la vie ne l ateint pa. Ses yeux bleu se ferment lentement il n es bien qu’a cette seconde la. inspiration, expiration, la vie le quitte pas a pas. en position foetal dans un souvenir il renaitra.

  • Anonyme

    Une étoile sur un champs de blé d automne c est posé. un frisson le parcour, il ondul jusque a son crépuscul tandi qu’au loin… une chouette hullule. PS; merci pour de beaux semtiments fait de tes mots et de bel photo ( centerre1@yahoo.fr )

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