Féminité

  • Art,  Féminité

    Les demoiselles d’Avignon

    Les Demoiselles d’Avignon, peint en 1907 par Picasso est le point de départ du cubisme. Observés de profil, de trois quarts, de face, de dos, les corps des femmes sont déformés ; les draperies qui entourent les modèles sont également représentées par des formes géométriques. Un nouveau siècle commence, une nouvelle façon de peindre aussi.

    Picasso représente l’intérieur d’un bordel, inspiré d’une maison close barcelonaise, située dans la carrer Avinyò, qui donne son nom à la toile. Des centaines de travaux préliminaires ont préparé la réalisation presque secrète de cette œuvre. L’espace, meublé par des draperies, est déconstruit, la perspective brisée, voire inexistante. L’accent est mis sur la verticalité. Même la nature morte, au premier plan, semble chuter vers le spectateur.

    La provocation est moins dans le thème choisi que dans son traitement. L’absence totale de pudeur des cinq femmes, leurs regards braqués sur le spectateur, sans communication entre elles, obligent celui-ci au voyeurisme, tandis qu’il est lui-même dévisagé. En cela, Picasso est un héritier de l’Olympia de Manet, qui met déjà en scène une prostituée au regard impudique.

    L’idée de Picasso était de détruire l’image de l’idéal de la femme. Les corps sont déformés. La femme assise présente à la fois son dos et son visage. L’influence de l’art africain, qui se substitue à celle de l’orientalisme du XIXe siècle, est très nette dans les visages des deux prostituées de droite.

    Par leur force et leur nouveauté, les Demoiselles d’Avignon constituent donc une œuvre clé de l’art du XXe siècle.

  • Fantasmes,  Féminité,  Mais qui est Lilou?

    Et toi, c’est quoi ton fantasme?

    « Et toi c’est quoi ton fantasme? » Me glisse-t-il timidement à l’oreille, comme s’il avait peur d’être trop indiscret! J’esquisse un sourire et lui répond: « Il y a bien une chose qui m’intrigue et m’attire…  » Je me demande soudain quel pourrait être sa réaction à l’aveu que je suis sur le point de lui faire!

    Il me regarde curieux, se demandant qu’est ce que je vais bien pouvoir lui dire. Il a l’air impatient de savoir!  » Je crois que j’aimerai beaucoup passer un doux moment avec une fille… » Je laissa un silence, juste le temps de voir le large sourire que semble lui procurer cette idée.

    Je lui sourit en retour avant de continuer:  » Une femme, cela m’inspire douceur, tendresse et volupté! Tout ce que j’aime. Il y a tant de choses à parcourir. Tout en courbe et contre courbe. Et puis j’imagine que c’est comme si je me découvrais un peu plus moi-même. Me retrouver en face de mon alter égo. Comme moi, mais pas tout à fait moi. Partager de délicates et sensuelles caresses. Prendre le temps de se découvrir, de parcourir peu à peu ces endroits que nous connaissons si bien, mais que nous découvrons pour la première fois d’une façon inédite, par l’intermédiaire de l’autre! »

    « – Et tu as déjà envisager aller plus loin avec tes copines? »
    « – ça va pas non? mes copines je les connais depuis trop longtemps, et puis je me vois mal leur avouer tout ça. Et quelque part aussi, je n’ai pas envie d’en savoir plus sur leur intimité. Non! c’est sur par contre, que je ne peux pas envisager ça avec n’importe qui, il faudrait que ce soit quelqu’un avec qui je me sens bien, une amie, une confidente avec qui je puisse parler de tout, une complice, une fille comme moi quoi! »
    « ça pourrait être pas mal en effet… »

    « Oh! Tu sais, c’est juste un fantasme, une envie, une curiosité, et même si j’imagine que la douceur d’une femme ne pourrait me décevoir, c’est quelque chose qui m’intimide à tel point, que je ne pourrais l’envisager uniquement qu’avec la bonne personne! »

  • Art,  Féminité

    A l’origine du monde

    Vénus de Lespugue

    Vénus de Willendorf

    Ces deux statuettes représentent les premières manifestations de l’art de l’Humanité. Elles furent surnommées « Vénus » par analogie avec la déesse de la beauté de la mythologie romaine et parce que les préhistoriens du début du 20ème siècle estimaient qu’elles correspondaient à un idéal de beauté préhistorique.

    La plupart de ces Vénus paléolithiques semblent être des représentations féminines conformes à un certain nombre de conventions figuratives. En effet elles s’inscrivent dans un losange, avec deux extrémités effilées symétriques autour d’un élargissement correspondant au ventre.

  • Féminité,  Photos de Lilou,  Plaisirs,  Sur le vif

    Prends soin de toi

    Hier soir, alors que je terminais ma journée vers 16h, je me suis dit: Et pourquoi pas me faire plaisir?
    Hihi, pas de conclusions hâtives, il n’y a rien de coquin à voir là dedans, mais plutôt un petit moment de détente et de bien être dans un institut de beauté! Et oui pour une fois l’institut de beauté ne fut pas synonyme de souffrance et d’épilation à la cire! ;)